VACCINS – SCANDALE SANITAIRE

NE LAISSEZ PAS LES LABOS
JOUER AVEC LA SANTE
DE VOS ENFANTS !

« Primum non nocere. Avant tout, ne pas nuire »
(Hippocrate, Père de la Médecine)

 

Notre fils n'a pas pu se réinscrire à la crèche en 2013 pour cause de non-vaccination DTPolio®
Problème: ce vaccin - le seul obligatoire - n'est plus disponible depuis 2008!
Les autres vaccins proposés sont tous non couverts en cas d'accident et sont dangereux! 

Découvrez ci-dessous les détails de cette scandaleuse affaire...

PS: Ce site vise moins à régler des comptes qu'à informer et à bousculer le dogme.
C'est la raison pour laquelle les noms ont été masqués, d'autant que le même scandale a lieu un peu partout en France!

SOMMAIRE:

Le saviez-vous ? Quelques données de base     ► Actualité sur les vaccins
Comment notre fils a été exclu de sa crèche    
Les alternatives au DTPolio
® introuvable     Nos différents courriers depuis sept 2012    
Nos actions     ► Ce que vous pouvez faire    

Annexe 1: comment gérer la fièvre chez l'enfant et le Paracétamol      ► Annexe 2:
quelques données sur les vaccins
Extraits d'ouvrages sur le sujet     Sélection de livres
Réactions à quelques à quelques articles "pro vaccination sans réflexion"

 


© Dessin Bickel, www.bickel.fr, voir également des extraits de son livre

... et sa vidéo sur l'imposture Pasteur !

 

Le saviez-vous ? Quelques données de base...

1. Le DTPolio®, seul vaccin obligatoire n’est plus disponible depuis 2008. Il est « remplacé » par des vaccins soit inefficaces, soit dangereux car comportant des adjuvants chimiques ou des valences supplémentaires (coqueluche, haemophilus, hépatite B,...)

2. Ces valences supplémentaire - non obligatoires donc - ne sont pas couvertes par la protection de l'Etat via l'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux (ONIAM): si votre enfant développe une réaction suite à l'un de ces vaccins, vous n'aurez plus que vos yeux pour pleurer car votre médecin arrivera toujours à se dédouaner. Vous voilà prévenu!   (Mise à jour Nov 2013: une condamnation de l'Etat change enfin la donne!)

3. La loi n'exige pas les vaccinations en soi mais la présentation d’un document « attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations obligatoires. » (Article R3111-17). Les règlements de crèches imposant une vaccination ou refusant les contre-indications des médecins traitants sont donc illégaux... mais comme la crèche est indispensable pour la majorité des parents et non obligatoire, la pression vaccinale y est maximale!

4. La France est le seul pays européen (avec l'Italie) a encore exiger des vaccinations et le seul a encore en exiger trois. Tous les autres pays ont abandonné cette pratique. Les Suisse ou les Allemand sont-ils plus bêtes que nous ? Vivent-ils en moins bonne santé ?

5. Tous les vaccins affaiblissent le système immunitaire. Une étude Allemande portant sur 17 461 enfants a démontré que les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9% contre 10,6%), nettement moins d’asthme ou de bronchite chronique (18% contre 2,4%) ou encore d’otite (11% contre 2%)... sans parler des risques autrement plus grand que sont la sclérose en plaque ou la mort subite du nourrisson... Vacciner avant l'âge de deux ans (ce que l'on fait pour entrer en crèche ou suivre la règlementation) est toujours contre-indiqué, le système immunitaire de l'enfant n'étant pas encore suffisamment bien développé.

6. Rares sont les médecins qui acceptent de discuter des vaccins puisqu'ils ont reçu en tout et pour tout 4 heures de formation sur le sujet et dépendent essentiellement des labos pour leur formation continue. Ce qui était encore acceptable au regard des connaissances scientifiques de l'époque de Pasteur - qui était chimiste et non médecin, a toujours refusé de sa faire vacciner et a reconnu s'être trompé à la fin de sa vie "Le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout" (formule de Claude Bernard) - ne l'est plus du tout au regard de nos connaissances actuelles de l'immunologie et des virus.

7. Une cinquantaine de livres sur le marché dénoncent l'inefficacité et la dangerosité des vaccins. Aucun de ces livres n'a jamais été condamné en justice. Diraient-ils par hasard une vérité inavouable ?

8. Chiffre d’affaire des vaccins en 2010 : 21 milliards d’euros (contre 8,5 milliards en 2006) dont 25% du marché pour Sanofi-Pasteur… La vaccination en France relève-t-elle de considérations sanitaires ou économiques ?

 

ACTUALITE SUR LES VACCINS

© Dessin Bickel, www.bickel.fr, voir également des extraits de son livre

 

Mai 2020

Lancement du Conte à rebours "Santé !" sur une dictature médicale et un vaccin obligatoire... Après les différents scandales de la crise Coronavirus, les citoyens doivent demeurer extrêmement vigilants... Un conte à diffuser sans modération pour développer une autre stratégie de protection !

 

LE SITE N'A PAS ETE MIS A JOUR
MAIS LES DONNES CI-DESSOUS DEMEURENT PERTINENTES


Décembre 2016

Résultats de la consultation "citoyenne" sur la vaccination ? Ne pouvant décemment demander aux labos de fournir le seul DTP obligatoire (en dépit du succès de la pétition du Pr. Joyeux) ou de retirer l'aluminium des vaccins, les conclusions du rapport sont de rendre obligatoire 11 vaccins au lieu de 3!  Ainsi, plus de pénurie!  Il fallait oser y penser !  Une fois de plus, les labos semblent avoir été davantage écoutés que les citoyens... Une carotte tout de même: la possibilité de refuser toute vaccination, le tout dûment noté sur le carnet vaccinal, et sans risque de poursuites pénales!  Cela semble un progrès mais il faudra être prêt alors à un petit lavage de cerveau culpabilisateur puis à faire une croix sur toute inscription en crèche ou école non obligatoire... De plus, la carotte pourra être retirée si le phénomène de non-vaccination prend trop d'ampleur. Pas de doute: la France est bien la patrie du chimiste Pasteur! 

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Mars 2016

Plus d'un million de signataire - dont votre serviteur - à la pétition du Pr. Joyeux. C'est un succès mais une partie des signataires - dont votre serviteur - a été manipulé car cette pétition ne demande nullement la liberté vaccinale mais plutôt le retour du DTP obligatoire en jouant sur la peur des parents vis-à-vis des 3 maladies que le vaccin est censé protéger. La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations le rappelle et a adressé une lettre au Ministre de la Santé lui demandant de suspendre cette obligation ubuesque.

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Mars 2016:

Le Professeur Joyeux est-il vraiment si courageux que cela ?  Certes, sa pétition a eu le mérite le lancer un débat autour des vaccins mais s'agit-il vraiment d'un débat de fonds ? On peut en douter à la lecture de sa dernière newsletter (29/2/16) - ou sa laborieuse version "vidéo" - qui commence par ces mots:

"La vaccination, c’est important. Personne ne veut voir son enfant attraper des maladies aussi terribles que la diphtérie, le tétanos, la polio et même d’autres maladies que la vaccination pourrait éviter  [...] Ce vaccin était sûr."

J'aimerais comprendre comment un vaccin peut-être considéré comme sûr alors que tout médicament comporte des effets secondaires et que l'on parle ici de vaccinations sur des nourrissons au système immunitaire encore immature...

J'aimerais que le Professeur Joyeux m'explique comment un vaccin est capable de protéger du Tétanos (une trentaine de cas tous les ans en France, moyenne d'âge 78 ans!) alors qu'attraper la maladie n'immunise pas l'organisme...

J'aimerais comprendre comment le fait d'affaiblir volontairement un système immunitaire va protéger des enfants de pathologies...

Et tant que nous y sommes, j'aimerais savoir pourquoi seuls 3 pays en Europe imposent encore des vaccinations. Les allemands sont-ils plus atteints de Tétanos ou de Polio que nous ?

Ce n'est pas la vaccination qui est importante mais le fait d'arriver à sortir de son dogme via une analyse rigoureuse de sa validité scientifique... et de son impact sur la santé des enfants!

Le message du Pr. Joyeux apparait in fine pro-vaccin ce qui n'est ni courageux ni cohérent au regard des connaissances scientifiques actuelles et des 50 livres disponibles sur le sujet.

Que se passera-t-il lorsque le DTP sera de nouveau disponible ?  Le Pr Joyeux sera-t-il encensé pour avoir de nouveau rendu la vaccination obligatoire sans discussion ?  Quel magnifique progrès!

Parler des valences supplémentaires ou de l'aluminium, n'est-ce pas empêcher un débat de fonds sur les vaccinations, tout comme accuser le paraben des cosmétiques a permis d'éviter de remettre en cause la superficialité chimique des crèmes ? 

En soi, notre famille était très contente que le DTP ne soit pas disponible: cela nous a permis d'obtenir plus facilement un certificat de contre-indications (les vaccins actuels sont évidemment bien plus dangereux que le seul DTP) et de préserver ainsi le système immunitaire de notre fiston. Il faut voir du coup l'énergie qu'il a!  L'absence du DTP donne en outre à tous les parents l'excuse rêvée pour ne pas faire vacciner leur enfants: "Désolé mais le vaccin obligatoire n'est pas disponible!"

Bref, je me demande ce qui pousse le Professeur Joyeux à tenir - 7 ans après la disparition du DTP "classique" - un discours aussi mièvre...  La peur de mécontenter ses collègues ?  Raté, il s'est fait descendre en flèche, ce qui en dit long sur l'indépendance de ces médecins et pseudo experts... La volonté d'être écouté ?  Après 850 000 signatures pour sa pétition, il pourrait pourtant maintenant se permettre un discours un peu plus musclé...

J'ai écrit à l'Institut pour la Protection de la Santé au Naturel (IPSN), qui diffuse activement la vidéo, ainsi qu'au Professeur Joyeux pour leur faire part de ces remarques. Je n'ai évidemment reçu aucune réponse... Le Pr. joyeux est officiellement politiquement incorrect mais il semble aussi naturellement incorrect d'oser s'en prendre à une telle icône...  Quant à oser avoir une discussion de fonds avec lui...

© Dessin Bickel, www.bickel.fr, voir également des extraits de son livre

 

Mai 2015:

Le Professeur Joyeux lance une nouvelle pétition en ligne contre le scandale du DTP introuvable. Ecouter sa vidéo audio vous donnera les (très) grandes lignes du scandale développé ci-dessous... mais il convient surtout de signer!  Mieux vaut tard que jamais mais le DTP a été retiré en 2008. Près de sept années pour qu'un médecin lance enfin une campagne d'information et active ses réseaux!  Cela en dit long aussi sur la formation médicale en France... ou les risques de radiation via le CONseil de l'Ordre pour celui qui refuserait de marcher droit!  Est-ce parce que le Professeur Joyeux est devenu intouchable qu'il peut se permettre de dire tout haut ce que beaucoup pensent ?


Avril 2015:

Un grand moment de radio publique sur France Inter le 21 avril 2015. A l’occasion de la Semaine européenne de la vaccination. L'émission Le téléphone sonne présenté par Pierre Weill s'interroge: Faut-il avoir peur des vaccins ?   Pour la réécouter, cliquer ici

Deux invités: le Professeur François Bricaire, ancien chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris, Professeur à l'Université Paris VI-Pierre et Marie Curie et Michèle Rivasi, Député européenne Europe Ecologie, Vice-Présidente du Groupe des Verts au Parlement Européen.

L'émission commence fort : le journaliste rappelle que la France demeure l'un des rares pays à maintenir une vaccination obligatoire et que deux nourrissons sont décédés des suites d'un vaccin contre la gastro-entérite. Le premier auditeur rappelle en outre que le seul vaccin DTP obligatoire n'est pas disponible en pharmacie!  "A qui profite le crime ?  Aux labos!" s'exclame Mme Rivasi, rappelant le coût des nouveaux vaccins par rapport à l'ancien DTP.

Le Professeur Bricaire démarre très fort aussi: "Si on ne vaccine pas [avec les valences non obligatoires], on prend des risques majeurs [...] Il faudrait [que les parents] aient une information parfaitement complète pour justifier qu'ils refusent de vacciner leurs enfants contre des maladies sévères [...] Ce n'est pas aux parents de juger. Les parents ne sont pas médecins! Comme si, avec quelques heures seulement de formation sur les vaccins, les médecins étaient à même de juger et de rendre un avis fiable!  Heureusement que les parents ne sont pas médecins: ils peuvent ainsi s'informer correctement sans passer par les lobbies médicaux... et ainsi lire l'un des cinquante livre disponible sur le sujet!

Autre belle tirade du "Professeur": "C'est pas le problème de savoir si on a un lien d'intérêt ou pas de lien d'intérêt [...] Les experts n'ont de qualité d'expert QUE s'ils travaillent [avec les labos!. Les autres sont de faux experts".   Rires de Mme Rivasi et il y a de quoi. En gros, ne sont experts que ceux qui reçoivent de l'argent des multinationales...  Tout est dit et on pourrait presque s'arrêter là...

Autre moment hallucinant: on apprend par la journaliste Danielle Messager - de toute évidence pro-vaccins au détriment de la rigueur journalistique - que l'hépatite B a été ajouté dans les vaccins obligatoires parce que de plus en plus de parents avaient des soupçons contre ce vaccin, notamment vis-à-vis du risque de développer une sclérose en plaque. Ni vu ni connu, je t'embrouille! Combien de parents sont de fait informés de ce que les pédiatres inoculent à leurs enfants ?

Attaqué par un auditeur vis-à-vis du serment d'Hippocrate ou d'hypocrite, le Professeur: "Je n'ai pas de lien avec l'industrie pharmaceutique, je travaille avec l'industrie pharmaceutique pour, avec eux, préparer des vaccins et faire en sorte de protéger la population de toute une série de maladies infectieuses."  La nuance est subtile en effet mais depuis quand et comment peut-on "travailler avec" quelqu'un sans avoir aucun lien avec lui ?

Vis-à-vis du Gardasil, le plus scandaleux et dangereux vaccin à l'heure actuelle: "Aucun effet secondaire! Cher Professeur, sachez qu'il n'existe aucun médicament allopathique sans "aucun effet secondaire" !  Chaque médicament en possède au minimum une dizaine, précisément listés sur les notices. Mais il est vrai que les médecins ne consacrent également que quelques heures à l'étude des médicaments et que 98% de leur formation continue est financée par l'industrie...

Toujours le Professeur, décidément bien parti pour remporter la palme du nombre de bêtises débités à la demi-heure: "Les vaccins ne rapportent pas beaucoup [aux laboratoires] Pas beaucoup non, juste 21 milliards d'euros de chiffre d’affaires en 2010 (contre 8,5 milliards en 2006) dont 25% du marché pour Sanofi-Pasteur...

A propos d'une étude démontrant le risque de l'aluminium pour le cerveau: "Ce n'est pas parce que c'est financé par le Ministère de la Santé que c'est sérieux Les études financées par l'industrie sont évidemment autrement plus sérieuses...

On apprend au passage - toujours via Mme Rivasi, bien au fait du dossier - que le Professeur Bricaire était derrière Mme Bachelot lors du scandale de la Grippe H1N1. "Peut-être qu'on a été trop précautionneux"   90 millions de doses achetés pour plus d'un milliard d'euros sur le budget de l'Etat... Coûteuse précaution...

La journaliste rappelle qu'un quart des médecins se posent des questions quant à l'opportunité de vacciner lorsque ce n'est pas obligatoire. Un quart seulement ?  Uniquement sur les vaccins non-obligatoires ? Plus de huit années d'études de médecine lavent certainement le cerveau mais quand même... Ces chiffres sont certainement largement sous-estimés mais quel médecin acceptera de dire clairement qu'il est contre la vaccination sans encourir immédiatement les foudres du conseil de l'Ordre ? D'ailleurs, combien se font eux-mêmes vacciner ou vacciner leurs enfants ?  Même question pour les patrons des labos...

Il y a clairement des choses que l'on ne peut pas encore dire à l'antenne d'une radio du service public: on peut éventuellement critiquer les multi-vaccinations (quelle avancée, déjà!) mais on ne peut remettre en question les bienfaits de la vaccination elle-même, officiellement à la base de la réduction des épidémies.  Même Mme Rivasi insistera ainsi sur le fait qu'elle n'y est pas opposée pour les vaccins obligatoires...  Voir plus bas pour la réalité de l'efficacité des vaccins...

Après qu'un auditeur phytothérapeute ait rappelé que la sur-stimulation immunitaire des enfants est extrêmement néfaste et qu'il existe d'autres moyens de stimuler l'immunité, le Professeur assène un péremptoire: "La seule façon de se protéger correctement contre une maladie infectieuse, c'est de se faire vacciner! Bel exemple de dogmatisme (ou de lavage de cerveau CQFD). Cette vision a effectivement le mérite de déresponsabiliser tous les malades: votre organisme est inapte à se défendre tout seul sans les labos... Mais cette déficience immunitaire n'a-t-elle pas pour cause justement les vaccins ?

Et le formidable dernier appel d'un auditeur globe-trotteur: "Votre sujet est aussi culturel. Pasteur a inventé les vaccins [...] C'est quand même embêtant [d'entendre] "On règle toutes les maladies par des vaccins" alors que dans d'autres pays on peut traiter les choses autrement. [...] La stimulation des systèmes immunitaires, il ne faut pas l'écarter d'un revers de main comme ça. C'est important d'être confronté aux bactéries."  Excellente conclusion que Pasteur, qui a reconnu s'être trompé à la fin de sa vie n'aurait pas forcément renié en reprenant la formule de Claude Bernard: ""le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout!"

 

Mars 2015:

Le Conseil Constitutionnel - qui n'y connaît évidemment rien en matière de santé - s'est prononcé le 20 mars 2015 sur l'affaire Larère (coir ci-dessous) et sa réponse a été - quelle surprise! - administrative: le parlement est compétent pour « définir une politique de vaccination afin de protéger la santé individuelle et collective ». Un rappel toutefois, au passage, que « chacune de ces obligations de vaccination ne s'impose que sous la réserve d'une contre-indication médicale reconnue ». En clair, avec un certificat de contre-indication, l'administration devrait vous laisser tranquille!  Et quand l'on sait que toute vaccination est contre-indiquée chez une personne dont le système immunitaire n'est pas encore en place (ce qui est le cas chez les enfants), cela laisse de la marge pour trouver un médecin non dogmatique!  Dans tous les cas, ce procès et ses conclusions (provisoires) a eu le mérite de lancer le débat!  A suivre...


Septembre 2014:

Selon la lettre d'information du Professeur Joyeux du 15 octobre 2014, "le Conseil technique de la vaccination a préconisé la levée de l’obligation de la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP)" en septembre 2014.
Combien de temps entre la recommandation et les actes ? Pendant ce temps, les scandales et les intimidations continuent...

Ce même Professeur Joyeux a lancé avec l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN), une pétition contre le projet de vaccination des enfants, filles et garçons du primaire dès 9 ans, à propos du cancer du col de l’utérus et d’autres localisations d'infections virales dues au papilloma virus (HPV). Voir http://petition.ipsn.eu/papillomavirus.php
Ce vaccin étant le plus dangereux à ce jour, il est effectivement plus judicieux de signer la pétition que de faire peur à des adolescents ou des jeunes enfants...

Enfin, dans le même temps, la famille Larère était poursuivie devant les tribunaux parce qu'elle a refusé de faire vacciner ses enfants âgés de 15 mois et 3 ans.  Les parents ont été signalés à la Protection maternelle et infantile par un pédiatre du centre hospitalier où ils avaient fait la visite des neuf mois de l’enfant. Le service du conseil général les a d’abord convoqués avant de faire à son tour un signalement au parquet... «Ce n’est pas possible de ne faire que les obligatoires. Et les gens ne sont pas au courant. Les médecins semblent avoir plus peur des lobbies que de la justice», argumente Marc Larère en évoquant des reportages télévisés «éloquents» sur le sujet, dont «Silence, on vaccine»
Ce procès a été l'occasion de faire passer quelques messages forts dont le scandale des valences non obligatoires et, surtout de poser une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). La famille devrait être relaxée et le Conseil Constitutionnel devra enfin se prononcer mais, pour faire entrer leurs enfants en crèche ou en scolarité non obligatoire, ce sera une autre histoire...

 

 

Comment notre fils a été exclu de sa crèche ?

- En septembre 2012, notre fils, âgé de 8 mois, intègre la crèche avec un certificat de contre-indication de son médecin traitant, sa sœur ayant notamment développé de graves réactions au DTPolio® (en gros: elle a failli en mourir!).

- Il est exclu de la crèche quelques jours plus tard au prétexte de sa non-vaccination et alors que le vaccin DTPolio® n’est plus disponible depuis 2008.

- Le Dr X, médecin de la crèche, me propose par téléphone et sans consultation de notre fils de lui faire une injection de Revaxis®, me le présentant comme étant « plus doux ». Or, selon le site de l’Académie de Médecine le vaccin Revaxis® est « réservé  aux personnes de plus de 18 ans (AMM) »  L’Autorisation de Mise sur le Marché a ensuite été abaissée mais il reste « inadapté pour les enfants en dessous de 6 ans et en primo vaccination ». En clair : il est inefficace et dangereux pour les nourrissons. En effet, outre 2 pages d’effets secondaires, il comporte 350µg d'aluminium, un neurotoxique actif dès 3,5 µg ! Voir plus bas la composition de ce "vaccin".

- Suite à un courrier dénonçant cette alternative ainsi qu’à un mot de notre médecin traitant concernant l’indisponibilité du DTPolio®, le Dr X démissionne de la crèche tandis que  notre fils est réintégré. Fin du premier acte.

-  En mai 2013, la crèche exige la vaccination obligatoire sous peine de non réinscription.

- Nous précisons à nouveau que le vaccin légalement obligatoire n’existe pas et attirons l’attention de la crèche sur le caractère illégal de leur règlement : la loi ne demande pas en effet les vaccinations mais la présentation d’un document « attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations obligatoires. » (Article R3111-17)

- En dépit de plusieurs courrier les informant également des effets secondaires des vaccins et du fait que seuls 4 pays en Europe continuent d’imposer des vaccins, la crèche – pourtant association loi 1901 – ne veut rien savoir et se retranche derrière son règlement inapplicable, illégal et nuisible aux jeunes enfants.

 


©
Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

Les alternatives au DTPolio® (Diphtérie, Tétanos, Polio) introuvable ?

- Le Revaxis® est inefficace en primo vaccination, dangereux (350µg d'aluminium !) et inapproprié pour les nourrissons (AMM pour les plus de 6 ans !). Voir les détails de ce vaccin un peu plus bas. Et sa fiche sur Doctissimo où il est précisé "Ce vaccin peut être administré, à titre exceptionnel, aux enfants à partir de l'âge de 6 ans en rappel d'une vaccination antérieure, notamment dans le contexte de pénurie en vaccin diphtérique, tétanique et poliomyélitique (DT Polio) recommandé conformément au calendrier vaccinal."

- Le InfanrixHexa® des laboratoires GSK, destiné aux nourrissons, contient les valences contre la coqueluche, l’haemophilus et l’hépatite B.  Ce vaccin comporte au total 25 antigènes, plus de l’aluminium, du phénoxyéthanol et 2 antibiotiques. Sa variante InfanrixQuinta® ne contient pas l'hépatite B.

- Le Tetravac® de Sanofi Pasteur MSD ne contient que la coqueluche en plus du DTP et serait donc le vaccin le moins "boosté" à l'heure actuelle.  La liste de ses excipients n'est toutefois pas pour rassurer: "Milieu de Hanks,  Acétique acide (E260),  Sodium hydroxyde (E524),  Formaldéhyde,  Phénoxyéthanol,  Eau pour préparations injectables,  adsorbé sur : Aluminium hydroxyde,  Résidus du procédé de fabrication : Streptomycine,  Néomycine,  Polymyxine B,  Glutaraldéhyde" selon la fiche Doctissimo

Il est également précisé, concernant les "Précautions d'emploi": "La vaccination doit être précédée d'une recherche des antécédents médicaux (notamment pour les vaccinations antérieures et les événements indésirables ayant pu survenir) et d'un examen clinique. Si la survenue de l'un des événements suivants est chronologiquement liée à l'administration du vaccin, la décision d'administrer d'autres doses de vaccin contenant une valence coquelucheuse doit être soigneusement évaluée :

  • Fièvre ≥40°C dans les 48 heures, sans autre cause identifiable.

  • Collapsus ou état évoquant un état de choc avec épisode d'hypotonie - hyporéactivité dans les 48 heures suivant la vaccination.

  • Cris persistants, inconsolables pendant une durée ≥3 heures, survenant dans les 48 heures après la vaccination.

  • Convulsions avec ou sans fièvre, survenant dans les 3 jours après la vaccination."

- Le nouveau vaccin Hexaxim®, de Sanofi Pasteur MSD contient les valences contre la coqueluche, l'haemophilus influenza de type b et l'hépatite B. "Il est la copie quasi conforme de l'Hexavac® retiré du marché en 2005 après avoir causé la mort de plusieurs enfants en Allemagne (où près de 7 millions de doses avaient été administrées, alors qu'en France il n'en avait été distribué que 125 000, ce qui expliquerait qu'il n'y ait eu aucun décès déclaré dans notre pays... à moins que la pharmacovigilance y ait été moins efficace ?)" selon le site de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations basée à Annecy.

"L'Hexavac® était également présenté en seringue pré-remplie ; le fait que l'Hexaxim® soit préalablement dilué, présenté comme un progrès important, n'en est donc pas un, les anatoxines diphtérique et tétanique y sont toujours adsorbées sur hydroxyde d'aluminium hydraté, les résidus de fabrication (glutaraldéhyde, formaldéhyde, néomycine et autres antibiotiques) sont exactement les mêmes, le virus de l'hépatite B est toujours cultivé sur cellules de levure génétiquement modifiée, même si la souche utilisée a changé (Hansenula polymorpha, levure de cidre, au lieu de Saccharomyces cerevisiae, levure de bière), etc." continue le site d'information.

Tous ces vaccins ne sont pas obligatoires puisque contenant des valences autres que le DTP. Pourquoi faire courir un risque inutile à vos enfants ?

Ils ne sont en outre pas couverts par l'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux (ONIAM) puisque contenant des valences non obligatoires. Pourquoi faire courir un risque inutile à votre famille ?

Et d'ailleurs pourquoi le DTPolio® n'est-il plus disponible ?  Officiellement et alors qu'il était utilisé depuis de nombreuses années, il est presque du jour au lendemain devenu très dangereux au point d'être rappelé en urgence de toutes les officines en 2008 (après une première indisponibilité en 2004 ou 2005 selon les labos). Qu'un vaccin dont on nous serinait jusque là la sureté deviennent subitement aussi nuisible n'est pas pour rassurer quant aux autres vaccins du marché...  Curieusement, le prix du DTPolio® était de moins 7 euros, intégralement pris en charge par la Sécu, alors que les vaccins de remplacement (sauf le Revaxis qui est un vaccin de rappel) sont toujours bien supérieurs... Le Tetravac® est le moins cher et coûte 15 euros, pris en charge à 65% par la Sécu. InfanrixHexa® coûte 40 euros et InfanrixQuinta® 27 euros, toujours pris en charge à 65% par la Sécu (et donc par les contribuables)! Cela n'a évidemment rien à voir mais il serait tout de même intéressant de calculer le gain financier des labos via cette très malencontreuse affaire...

 


©
Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

Nos différents courriers depuis septembre 2012

Contexte: Notre fils vient d'être exclu de la crèche, en dépit d'une contre-indication de son médecin traitant. Le Dr X, médecin de la crèche, me propose par téléphone et sans consultation de lui faire une injection de Revaxis®, me le présentant comme étant « plus doux ». Je lui fais confiance et fixe un rendez-vous pour le surlendemain. Le soir, je vais néanmoins faire une recherche sur internet. Ce que je découvre me laisse pantois...

Je décide donc d'écrire à la crèche:

Madame la Directrice,

Vous nous avez en date du 4 septembre 2012 demandé de retirer notre fils [masqué] de la crèche [masqué] au motif qu’il n’était pas vacciné (DTPolio). Cette décision nous apparaît à la fois injustifiée et abusive. Je vous remercie d’avoir pris le temps de m’appeler pour en discuter mais tiens à clarifier nos différents arguments comme suit : 

1. Les articles L 3111-1 à L 3111-3 du Code de la Santé Publique prévoient bien une obligation de vaccination antidiphtérique, antitétanique et antipoliomyélitique avant l’âge de 18 mois pour tout enfant. Néanmoins, il est précisé que ces vaccinations obligatoires sont à effectuer « dans les trois mois de l’admission de l’enfant » c'est-à-dire que les parents disposent d’un délai de 3 mois à compter de l’avis écrit de demande de vaccination (articles R 3111-8, R 3111-12 et R 3111-14 du Code de la Santé Publique). 

Suite à votre courrier officiel, nous disposerons d’un délai de trois mois pour effectuer ces vaccinations ou nous organiser en conséquence  Dans l’intervalle, [notre fils] devrait continuer à pouvoir fréquenter la crèche.  

2. L’Article R3111-17 stipule que « L'admission dans tout établissement d'enfants, à caractère sanitaire ou scolaire, est subordonnée à la présentation soit du carnet de santé, soit des documents en tenant lieu attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations obligatoires. » 

Or [notre fils] dispose d’un certificat médical de contre-indications du Docteur [masqué] à [masqué], au regard des antécédents familiaux de réaction aux vaccins de sa sœur aînée ainsi que du développement d’un eczéma sur son crâne. Il apparaît ainsi curieux que le Docteur en charge de votre structure puisse, sans aucun examen préalable de [notre fils], passer outre et demander une vaccination.  

3. En cas de vaccination, votre responsabilité pénale ainsi que celle du Docteur prescripteur serait engagée. En effet « L’endos de la responsabilité civile et pénale des effets indésirables dus aux vaccinations s’impose à toute personne exigeant ou pratiquant un vaccin comportant en plus du DTP (seule vaccination obligatoire), une ou plusieurs valences supplémentaires (coqueluche,ou/et haemophilus influenzae b ou/et hépatite B), ou des rappels non obligatoires, ce qui entraîne de facto l’impossibilité d’utiliser la procédure simplifiée induite par l’article L 3111-9 du code de Santé Publique. Sont dans la même situation ceux qui proposent d'utiliser le vaccin Revaxis®, qui n’a pas d’AMM pour les enfants en dessous de 6 ans ou en primo vaccination. Sont également dans cette situation ceux qui proposent d'offrir gratuitement le DT Vax, ce dernier n’étant plus commercialisé en France et ne correspondant pas à la recommandation de l’AFSSAPS, pour les vaccins pédiatriques, car il contient du Thiomersal. » 

4. Depuis le 12 juin 2008, le DTPolio® a été victime d’une « suspension temporaire de distribution » avec retrait de tous les lots existants. Ce vaccin n'est toujours pas revenu sur le marché alors qu’il est le seul vaccin anti Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite disposant d'une AMM pour les enfants de moins de six ans. Renseignements pris en pharmacie, ce vaccin n’est plus non plus disponible en Suisse. De fait, l'obligation de vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’est légalement plus possible et devrait être suspendue pendant la période d'indisponibilité du vaccin DTP.  

5. Le Dr [masqué] a prescrit par téléphone pour [notre fils], sans aucun examen et alors qu’elle était au courant des antécédents familiaux,  le vaccin Revaxis®, qu’elle m’a présenté comme étant plus "doux". Or, selon le site de l’Académie de Médecine (http://www.academie-medecine.fr/sites_thematiques/vaccination/page2004.html) le vaccin Revaxis® est « réservé  aux personnes de plus de 18 ans (AMM) »  L’AMM a ensuite été abaissée mais il reste inadapté pour les enfants en dessous de 6 ans et en primo vaccination.  

6. Outre son inefficacité en primo-vaccination, le vaccin Revaxis® apparaît beaucoup plus dangereux que le vaccin DTP retiré du marché. Il comporte en effet un taux de 350µg d'aluminium, que le receveur pèse 100 kg ou 5 kg !    

Liste des excipients selon le fabricant : Acide acétique, Acides aminés, Aluminium hydroxyde, Eau ppi, Formaldéhyde, Milieu 199 hanks, Phénoxyéthanol, Sels minéraux, Sodium hydroxyde, Vitamines. 

Rappelons que le formaldéhyde a été classé par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), en 2004 comme cancérigène certain (groupe 1) ou encore que l’aluminium ou le Phénoxyéthanol peuvent induire des effets neurotoxiques et des troubles neurologiques.                                   

Les « Précautions » du fabricant ne sont pas pour rassurer: « Comme pour tous les vaccins, des cas exceptionnels de réactions allergiques graves ont été constatés ; ce risque justifie la nécessité de réaliser la vaccination en milieu médical où un traitement d'urgence pourra être entrepris sans délai. Pour limiter le risque de réaction allergique, il est recommandé, chez l'adulte, de respecter un intervalle d'au moins 5 ans entre deux injections de vaccins contenant des anatoxines diphtériques ou tétaniques. De la néomycine, de la streptomycine et de la polymyxine B sont utilisées pour fabriquer ce vaccin. Ces substances persistent en infime quantité dans la solution injectable. Des précautions sont nécessaires chez les personnes qui y sont allergiques. » 

Et voici la liste des effets indésirables, toujours selon le fabricant :

- Les effets indésirables sont classés en terme de fréquence selon la convention suivante :

Très fréquent > = 10%. Fréquent > = 1% et < 10%. Peu fréquent > = 0,1% et < 1%. Rare > = 0,01% et < 0,1%. Très rare < 0,01% y compris les cas isolés. 

EXPERIENCE ACQUISE AU COURS DES ESSAIS CLINIQUES :

Lors des études cliniques, les événements les plus courants survenant après administration du vaccin sont les réactions locales au point d'injection (douleur, érythème, induration et oedème) qui sont rapportées chez 65% à 80% des sujets dans chaque essai. Ces réactions commencent généralement dans les 48 heures suivant l'injection et persistent 1 à 2 jours : elles sont parfois accompagnées de nodules au point d'injection.

- Affections hématologiques et du système lymphatique :

Peu fréquent : lymphadénopathies.

- Affections de l'oreille et du labyrinthe :

Fréquent : vertiges.

- Affections gastro-intestinales :

Fréquent : nausées, vomissements.

- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :

. Très fréquent : réactions locales (douleur, érythème, induration, oedème et nodule au point d'injection).

. Fréquent : hyperthermie.

. Peu fréquent : malaise.

- Affections musculosquelettiques et systémiques :

. Peu fréquent : myalgies.

. Rare : arthralgies.

- Affections du système nerveux :

Fréquent : céphalées.

EXPERIENCE ACQUISE APRES COMMERCIALISATION :

Basés sur les données des déclarations spontanées, les événements suivants ont également été rapportés après la mise sur le marché.

Ces événements ont été très rarement rapportés, cependant l'incidence exacte ne peut être précisément calculée

- Affections cardiaques :

Hypotension.

- Troubles généraux et anomalies au site d'administration :

Abcès amicrobiens.

Asthénie survenant et disparaissant habituellement en quelques jours.

Symptômes pseudogrippaux survenant le plus souvent le jour de la vaccination.

- Affections du système immunitaire :

Réactions d'hypersensibilité immédiate : urticaire, oedème de Quincke et choc anaphylactique.

- Affections de la peau et du tissu sous-cutané :

Prurit, rash.

EVENEMENTS INDESIRABLES POTENTIELS :

- Des troubles neurologiques consécutifs à une vaccination contre la diphtérie et/ou le tétanos sont extrêmement rarement rapportés.

- Comme pour le vaccin tétanique adsorbé, l'incidence et la gravité des réactions locales peuvent être influencées par le choix du site, de la voie d'injection et par le nombre des injections précédentes.

- Les réactions systémiques sont principalement observées chez les patients hyperimmunisés, particulièrement par les rappels diphtériques et tétaniques trop fréquents. »

En conclusion, les conditions légales et sanitaires ne sont pas être remplies pour que nous devions faire vacciner [notre fils], en témoigne la nouvelle attestation de notre médecin traitant [masqué] (copie jointe). 

Nous espérons que vous serez réceptive à ces différents arguments et que [notre fils] pourra continuer à bénéficier de vos structures et formidable accueil. Dans tous les cas, nous vous remercions de bien vouloir justifier votre position par écrit dans les plus brefs délais. 

Je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires et vous prie de croire, Madame la Directrice en l’assurance de mes salutations respectueuses, 

Signé

 


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Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

J'envoie également un courrier similaire au Dr. X. Nous ne reproduisons ci-dessous que les parties différentes:

 

Docteur,

L’objet de cette lettre est de vous préciser les circonstances de l’annulation de notre RV du 6/9 à 10h45 avec le Docteur [masqué].

Contrairement à ce que vous m’avez dit au téléphone, le vaccin Revaxis® prescrit pour [notre fils] n’est en aucun cas plus doux que le vaccin original ou ses alternatives puisqu’il comporte notamment un taux de 350µg d'aluminium.

La liste des excipients fait apparaître un cancérigène certain (formaldéhyde) et deux neurotoxiques (Aluminium hydroxyde et  Phénoxyéthanol).

Les « Précautions » du fabricant ne sont pas pour rassurer [identique lettre Crèche]

Est-ce vraiment un tel vaccin, inefficace et dangereux que vous souhaitez prescrire à notre fils de 7 mois, alors que vous avez été informée par mon épouse (et par moi) des très graves effets secondaires survenues suite à la vaccination de [notre fille] et que [notre fils] dispose en outre d’un certificat de contre-indication du Dr [masqué] ? 

En tout état de cause, votre responsabilité pénale serait alors engagée. [identique lettre Crèche]

Depuis le 12 juin 2008, le DTPolio® a été victime d’une « suspension temporaire de distribution » avec retrait de tous les lots existants. Ce vaccin n'est toujours pas revenu sur le marché alors qu’il est le seul vaccin anti Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite disposant d'une AMM pour les enfants de moins de six ans. Renseignements pris en pharmacie, ce vaccin n’est plus non plus disponible en Suisse. De fait, l'obligation de vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’est légalement plus possible et devrait être suspendue pendant la période d'indisponibilité du vaccin DTP.  

En conclusion, les conditions légales et sanitaires ne sont pas être remplies pour que nous devions faire vacciner [notre fils], en témoigne la nouvelle attestation de notre médecin traitant [masqué] (copie jointe). 

Nous espérons que vous serez réceptive à ces différents arguments et que [notre fils] pourra continuer à bénéficier de la chance et du plaisir de pouvoir fréquenter la crèche.  

Dans tous les cas, nous vous remercions de bien vouloir justifier votre position par écrit. 

Je reste à votre disposition pour tous renseignements complémentaires et vous prie de croire, Docteur, en l’assurance de mes salutations respectueuses,  

Signé

 Art. 36 du Code de Déontologie Médicale:
« Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

 Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997 : Information des Patients.
« Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ». 

Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment » .

 


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Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

Suite à ces courriers ainsi qu’à un mot de notre médecin traitant concernant l’indisponibilité du DTPolio®, le Dr X - qui n'a pas daigné répondre à nos questions - démissionne de la crèche tandis que  notre fils est réintégré. Nous pensions ainsi que nos arguments avaient porté et que cette question vaccinale était réglée.

Mais, en mai 2013, la crèche joint un courrier spécifique au dossier de réinscription. La vaccination obligatoire est exigée sous peine de non réinscription. Cliquez sur la lettre ci-dessous pour l'agrandir:

 

Je reprends donc ma plume (ou plutôt mon clavier):

Madame la Présidente,

J'espère que vous vous portez aussi bien que le temps le permet.

Concernant votre courrier « Vaccination DTP » joint à votre formulaire d'inscription (doc joint), nous aimerions vous préciser les données suivantes, sans entrer dans un vain débat "pour ou contre":

1. Le seul vaccin obligatoire (DTP) n'existe plus. La phrase de votre règlement intérieur n’est donc plus adaptée et son existence même vous place, me semble-t-il, en situation précaire vis-à-vis de possibles poursuites judiciaires : soit pour discrimination abusive si des parents étaient amenés à penser que leur enfant était rejeté pour une chose qu’il ne peuvent tout simplement pas faire, soit, dans l’hypothèse d’un accident vaccinal, pour mise en danger de la vie d’autrui. L’Etat en effet ne vous couvrirait pas puisque le vaccin que vous auriez imposé contient des valences non obligatoires (et dangereuses) !

2. L’Article R3111-17 du Code de la Santé publique stipule que « L'admission dans tout établissement d'enfants, à caractère sanitaire ou scolaire, est subordonnée à la présentation soit du carnet de santé, soit des documents en tenant lieu attestant de la situation de l'enfant au regard des vaccinations obligatoires. »

3. Michaël sera donc au bénéfice, tout comme l'année dernière, d'un mot de son médecin traitant suspendant la vaccination tant que celle-ci n'est pas disponible.

4. Aucune administration ne peut s'opposer à cet avis médical de bon sens sans être en infraction vis-à-vis de la loi (un avocat vient d'ailleurs de sortir un livre sur le sujet: Vaccins - On nous aurait menti ? L'avis d'un avocat). De fait, la PMI (ou la CAF ?) n'a rien trouvé à redire l'année dernière. Votre association sera ainsi tranquille vis-à-vis des autorités.

5. Nous trouverions pour le moins curieux que vous soyez "plus royaliste que le roi" et imposiez des vaccins que les administrations elles-mêmes n’osent plus demander et qui ne disposent parfois même pas d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) pour les nourrissons !  Vu le temps consacré à ce sujet l’année passée (voir mon courrier de septembre) et les tracasseries subies par [notre fils], votre courrier spécifique est déjà pour le moins surprenant.

Quoi qu’il en soit, nous avons toute confiance dans votre bon sens et dans le fait que vous aurez à cœur de consacrer votre temps au bien-être des enfants plutôt que dans un combat dogmatique où les intérêts économiques priment largement sur les aspects sanitaires.

N’ayant pas de solution satisfaisante de replis, nous espérons également que [notre fils] pourra continuer à bénéficier de vos formidables structures d'accueils et de ses camarades de jeux et j’en profite pour vous remercier, vous et votre équipe, pour votre dévouement et efforts du quotidien. 

Je reste évidemment à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.

Je prie de croire, Madame la Présidente, en l’assurance de mes salutations respectueuses,

Signé                                                    

 

 

Je reçois en retour la lettre recommandée ci-dessous. Même punition: cliquez pour l'agrandir

 

Détail intéressant et révélateur: la question de l'indisponibilité du DTP est complètement éludée!  La crèche se contente de répéter le texte de son règlement et en profite pour nous attaquer sur un autre sujet: la soi disant inefficacité de nos remèdes naturels pour faire baisser la fièvre et le fait de ne pas être immédiatement venu chercher notre fils... Seul point positif: l'offre de médiation, que nous fixons au 20 juin. Le délai étant important, nous décidons d'ores et déjà de répondre:

 

[masqué], le 8 juin 2013

Madame la Présidente,

Dans l’attente de notre rendez-vous du 20 juin, j’accuse bonne réception de votre courrier du 30 mai 2013 et souhaiterais d’ores et déjà y apporter les commentaires suivants :

1. Notre intention n’est pas « de ne pas vacciner [notre fils] contre la Diphtérie, Ténanos, Polio » mais de ne le vacciner que lorsqu’un vaccin sera de nouveau disponible, comme l’attestera son certificat médical, ce qui n’est pas du tout la même chose !

2. Vous éludez complètement cette question de la non-disponibilité du vaccin obligatoire : comment faire vacciner un enfant en DTP si le vaccin n’existe plus ? 

3. Question liée : êtes-vous prêt à nous signer un document prenant toute la responsabilité d’un accident vaccinal lié à un vaccin comprenant d’autres valences que les trois obligatoires ?  En soi, vous n’avez rien à nous signer puisque votre responsabilité pénale, ainsi que de toute personne obligeant à vacciner hors DTP, serait automatiquement engagée.

4. Vous rappelez que vous n’êtes pas une administration mais une association loi 1901 de droit privé. Mesurez-vous bien le risque pour une telle structure d’obliger des parents à vacciner hors vaccins obligatoires ?  Apparemment pas.  

5. Vous prenez en argument votre règlement intérieur mais celui-ci n’est plus applicable en l’état sauf à faire courir de graves risques aux enfants. Veuillez vous référer à mon courrier de septembre 2012 pour la liste des effets secondaires du Revaxis que le Dr [masqué]  voulait administrer à [notre fils] , en dépit d’une AMM uniquement pour les plus de 6 ans. Est-ce vraiment le rôle d’une association telle que la votre de faire courir de tels risques à des nourrissons ?

6. Je vous remercie de préciser qu’il n’y a « aucune obligation d’accueil en collectivité de l’enfant de moins de 6 ans ». C’est justement, j’imagine, l’une des raisons pour laquelle votre association a été créée : pour palier à un manque, sachant que les pressions financières obligent quasiment toujours les deux parents à travailler de nos jours. Refuser une place à un enfant entraîne toujours de lourdes conséquences.

7. Là encore, votre non-statut d’administration vous place à risque vis-à-vis de parents qui estimeraient avoir été pénalisés. Comment définir légalement le fait d’imposer une vaccination qui n’existe pas sous menace d’exclusion ?

8. Vous nous reprochez  « le refus de venir chercher notre fils, lorsqu’il présente une forte fièvre que le protocole de soins ne permet pas à l’équipe de traiter ». Vous voudrez bien dès lors nous préciser 1. Quand notre protocole s’est révélé inefficace (augmentation de la fièvre). 2. A quelles dates précisément nous ne sommes pas venus le chercher.

9. Vos accusations sont d’autant plus déplacées que nous avons été jusqu’à faire faire à [notre fils] une analyse sanguine parce que votre personnel craignait pour un possible cas de Rubéole et alors que nous avions annoncé une intoxication alimentaire dans la famille présentant les mêmes symptômes. Madame [masqué] a reconnu par la suite avoir été excessive dans ses craintes et ses demandes. Résultats : deux jours durant lesquels [notre fils] n’a pas pu être en crèche mais qui nous ont quand même été facturés – toujours conformément à votre règlement – et une centaine d’euros de frais médicaux.

10. Globalement je m’étonne que vos responsables soient aussi peu formés aux pathologies infantiles et aux moyens de les prévenir (ou traiter), aussi craintifs à la moindre incidence, aussi tournés vers l’allopathie (en dépit du fait que plusieurs de vos assistantes soient en faveur des thérapies naturelles). Vous avez ainsi mis en garde les parents contre les risques liés aux colliers d’ambre (sic) par voie d’affichage mais quid, par exemple, des risques liés au paracétamol de votre protocole "classique" contre la fièvre ?  Voir annexe.

11. Vous avez mis votre courrier en copie de multiples personnes, sans avoir pris la peine d’y joindre notre courrier original. Il va donc nous falloir clarifier la situation auprès de ces mêmes personnes, ce qui leur permettra 1. De découvrir une partie des absurdités du business vaccinal (sans parler de ses risques). 2. De pointer du doigt certains aspects pour le moins curieux de votre règlement. 3. De constater à quel point vous avez déformé nos propos.  Vous voudrez bien à cet égard me communiquer les adresses de ces personnes  afin que nous puissions exercer notre « droit de réponse » ou bien alors leur transmettre ce courrier.

12. Tout ceci étant précisé, je réitère à quel point nous sommes ravis de l’accueil de [notre fils] au sein de vos structures et à quel point il nous apparaît important de le sociabiliser via le contact avec de multiples autres enfants. La crèche, de ce point de vue, ne devrait pas être un choix mais un droit ! Qui dit droit dit certainement devoir mais le premier devoir de parents responsables n’est-il pas de préserver l’intégrité physique de ses enfants ? Toute personne un minimum informé des mensonges liés aux vaccinations ne pourrait que s’opposer à toute vaccination non obligatoire, ce que nous faisons et ce que, en toute logique, vous devriez soutenir.

Dans l’attente de notre rendez-vous, je reste évidemment à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.

Je prie de croire, Madame la Présidente, en l’assurance de mes salutations respectueuses,

Signé

PJ : Article sur la fièvre et le paracétamol

Art. 36 du Code de Déontologie Médicale:
« Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997 : Information des Patients.
« Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique :
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment » .

Copie à Monsieur [le Maire]                                                   

 


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Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

Constatant que leur courrier est mis en copie à plusieurs personnes dont le Maire de notre commune, nous nous sentons obligés de lui clarifier le débat:

 

                                                                                                          [masqué], le 8 juin 2013

  

Monsieur le Maire,

Vous avez été mis en copie d’un courrier de la crèche [masqué] du 30 mai 2013 qui nous était adressé.

Ce courrier laisse à penser que nous nous opposons à la vaccination DTP, que nos traitements alternatifs contre la fièvre ne sont pas efficaces ou encore que nous ne sommes pas venus chercher [notre fils] lorsqu’on nous le demandait.

La réalité est un peu plus subtile que cela.

Sans entrer dans les détails, veuillez trouver ci-joints mes courriers adressés à la crèche qui résument notre situation :

- Courrier de septembre 2012. Suite à ce courrier, [notre fils] a été réintégré, la PMI ne trouvant rien à redire à nos arguments. Le Dr [masqué] (à qui j’avais adressé plus ou moins le même courrier) a démissionné de ses fonctions au sein de la crèche.

- Courrier de mai 2013. Avec le formulaire de réinscription figurait en effet une demande expresse de vaccination, alors que le vaccin obligatoire n’existe toujours pas !

Vous noterez ainsi que la réponse de [masqué] dont vous avez été mis en copie élude complètement la question de la non-disponibilité du vaccin obligatoire : comment faire vacciner un enfant en DTP si le vaccin n’existe plus ? 

- Courrier du 8 juin 2013

Je rencontrerai les dirigeants de la crèche le jeudi 20 juin mais tenais dès maintenant à vous informer d’une situation passablement bancale sur le plan judiciaire, étant évident qu’une application stricte du règlement intérieur de la crèche n’est selon nous conforme, ni avec le bon sens, ni avec le principe de précaution.

Je reste évidemment à votre disposition pour tous renseignements complémentaires et vous prie de croire,  Monsieur le Maire, en l'assurance de mes salutations respectueuses.
 

                                                                                              Signé

 


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Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

La réunion de "médiation" a donc lieu le 20 juin 2013 mais elle ne se passe pas comme prévu. Je fais face à trois personnes qui ont déjà décidé de notre sort. Compte-rendu dans notre dernier courrier où, après avoir vainement discuté de l'aspect illégal de la demande de vaccination, nous tentons d'aborder l'aspect moral...

 

[masqué], le 25 juin 2013

 

Madame la Présidente,

Je vous remercie de l’entretien du jeudi 20 juin, qui m’a néanmoins surpris par ses conclusions prises avant même qu’il ne démarre et annoncées en préambule. Ce n’est pas ma compréhension d’une "médiation" (« entremise destinée à amener un accord »). Cela ressemblait de fait plutôt à un tribunal.

J’ai bien noté ainsi votre tentation à faire dévier la question de base vers des accusations plus ou moins gratuites : mes appels « tous les mois » (sic) pour clarifier les factures, le fait de ne pas être venu cherché [notre fils] le 11 janvier ou mon soi disant « mensonge » à l’inscription alors que nos deux aînés sont vaccinés et que j’ignorais alors que le DTP n’était pas disponible ou que [notre fils] bénéficierait d’une contre-indication de son médecin traitant.

J’ai bien compris au passage que vous étiez réfractaire à toute remarque, comme si votre association pouvait être parfaite et ne devait être questionnée. De fait, même vos assistantes n’osent rien dire (tout en n’en pensant pas moins), l’administration et les procédures ayant apparemment pris le pas sur le bon sens et les puéricultrices dûment formées. La peur permet de préserver bien des apparences… Fin de la parenthèse.

Sur le sujet de la vaccination, j’ai globalement été étonné par votre propension à tout ramener à votre règlement alors qu’il s’agit d’une question de bon sens (le vaccin exigé n’existe pas) et de santé publique (les vaccins de remplacement sont inefficaces et dangereux).

J’ai été surpris lorsque vous m’avez annoncé que tous les membres de votre comité avaient entériné la décision de suivre stricto sensu un règlement inapplicable en l’état mais il est clair que toute l’information ne leur a pas été communiquée – quel parent accepterait de faire courir un risque inutile à son enfant ? – et que des responsables d’une association ne sont pas les mieux placés pour critiquer leur association.  

Votre décision de demander la réintroduction du DTP auprès des députés démontre d’ailleurs votre reconnaissance implicite de l’absurdité de votre règlement. Pourquoi sinon redemander ce vaccin ? Uniquement pour vous couvrir quant au risque vaccinal de valences non obligatoires, éviter à l’avenir tout questionnement sur le sujet ou bien quand même – je vous le souhaite – parce que la santé des enfants vous préoccupe ?

Vous avez récusé le terme mais nous restons sur l’impression d’un chantage immonde : soit nous faisons courir un risque sanitaire à [notre fils] via un vaccin légalement non-obligatoire – et j’ai bien noté que vous rejetteriez alors la responsabilité sur le médecin qui aurait fait l’injection, ce qui est fort courageux de votre part -, soit nous devons opter pour un autre mode de garde. Vous devriez avoir honte et vos procédures administratives ont décidément bon dos !  « Ce n’est pas moi, c’est le règlement ! » 

Mais quelle est donc cette société où des bénévoles d’une association préfèrent jouer aux petits soldats plutôt que de dénoncer un scandale sanitaire ?  Auriez-vous des parts chez Sanofi-Pasteur, un intérêt quelconque à affaiblir le système immunitaire des enfants ?  « Il est difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu'il ne la comprenne pas » disait Upton Sinclair mais vous êtes bénévole et ce n’est pas là la moindre de vos qualités. Moins d’enfants en crèche signifie sans doute moins de tracas (et tout autant de paiements grâce à votre règlement) mais je n’imagine pas que vous puissiez pousser le cynisme aussi loin, le système s’en chargeant très bien tout seul !

Serait-ce donc plutôt une stratégie d’auto-défense du genre : « J’ai vacciné mes enfants sans savoir les dangers que je leur faisais courir donc je ne veux rien savoir des vaccins et tant pis pour les autres » ?  Une vingtaine de livres dénoncent les mensonges des pouvoirs publics et la dangerosité des vaccins et aucun n’a été condamné…  Jusqu’à quand peut-on en conscience continuer à se voiler la face ?

Votre soi disant « respect » pour nos opinions est en réalité de l’intolérance à partir du moment où il est surtout prétexte à clore la discussion. « Nous respectons votre opinion mais taisez-vous, je ne veux rien savoir ! »  Pourquoi avoir aussi peur de la vérité ? Parce qu’elle responsabilise ?

Est-il normal de condamner les enfants à développer un terrain oxydant et alcalin, le terrain des virus et des cancers, – ce qu’induisent toujours  les vaccins –, à affaiblir leurs défenses immunitaires, à augmenter leur risque d’allergies ou pire encore (voir Annexe) simplement à cause… d’un règlement !?!

Votre responsabilité pénale ne sera peut-être pas engagée vu le dogmatisme des administrations mais votre responsabilité morale est d’ores et déjà entière à partir du moment où vous savez (ou refusez de savoir). Vous avez été informé dès septembre 2012 des effets secondaires et de l’inefficacité du vaccin proposé par le Dr. [masqué] (sans aucun examen préalable de [notre fils]) et vous ne faites rien. Pire encore puisque vous obligez implicitement les parents – via votre règlement – à faire vacciner des enfants avec des valences inutiles et dangereuses, via des vaccins ayant parfois des AMM ne correspondant même pas à l’âge des enfants ! Vous avez pourtant autrement plus de chance de voir un enfant développer une pathologie (combien de morts subites du nourrisson tous les ans en France ?) suite à une telle vaccination que de voir un enfant s’étrangler avec un collier d’ambre. Votre règlement vous permettra-t-il alors de bien dormir ?

L’absurdité de ce vaccin obligatoire non disponible vous donne l’opportunité unique de rattraper les erreurs passées – rien ne peut éthiquement vous être reproché tant que vous ne saviez pas et nous sommes tous ignorants avant de savoir quelque chose –  et, surtout, de préserver votre honneur, entaché à chaque nouvelle vaccination « pour entrer en crèche, conformément à leur règlement ».  Vous aimez jouer à la roulette russe ?   Moi pas et d’autant moins avec des enfants !

La fonction de Présidente consiste me semble-t-il moins dans l’application stricte d’un règlement que dans la prise de décisions courageuses au nom de l’éthique. Etes-vous bénévole par passion des procédures, recherche de prestige personnel – ah, l’ivresse du pouvoir lorsque l’on dit « non ! » ou clos une réunion en plein débat – ou bien parce que vous voulez faire une différence et aider les enfants du mieux possible ?  Si l’accueil des enfants induit leur mise en danger, alors votre structure – à défaut de votre règlement – devrait être dénoncée !

En l’occurrence, quel est donc l’intérêt des enfants ? Eux ne signent pas de règlement et sont les premières victimes du business vaccinal. Seuls 5 pays en Europe osent encore imposer des vaccinations. Tous les autres – dont la Suisse et l’Allemagne – disposent quand même de crèches !  Lier la vaccination avec les règles de la collectivité relève donc de la simple manipulation et d’une tentative d’intimidation.

Pensez-vous également que tous les parents soient correctement informés ? « Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes » dit le Code de Déontologie Médicale.  Combien de parents savent ce qui est réellement injecté à leurs enfants ?

Bref, comment préférez-vous in-fine être reconnue ?  Comme une Présidente irresponsable, arc-boutée sur un règlement inapplicable et dangereux ou comme celle qui aura préservé la santé des enfants et l’intelligence des parents ?  Votre temps sera-t-il mieux consacré à défendre une clause perdue ou une cause juste ?

Vous aurez compris je pense que je suis prêt à consacrer une partie de mon temps à dénoncer le risque sanitaire que font courir ces vaccins sur les nourrissons et que l’absurdité de votre règlement doublée à l’injustice vis-à-vis de [notre fils] sont des voies royales pour aborder cette question.

Nous vous demandons donc une dernière fois – pas tant pour la place en crèche de [notre fils] que pour la préservation de la santé de l’ensemble des enfants – de nous aider à faire la lumière sur ce scandale sanitaire. A charge ensuite pour les parents de décider en âme et conscience s’ils souhaitent aller au-delà du seul vaccin obligatoire. Alors vous aurez fait correctement votre travail. Alors vous serez vraiment digne de votre fonction et pourrez légitimement être fière de votre association.

Nous espérons votre réponse définitive d’ici une semaine.

Je prie de recevoir, Madame la Présidente, mes plus cordiales salutations,

Signé

Copie à Monsieur [Le Maire].
Copie à La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, Annecy
                                                  

A noter qu'il n'y a pas 5 mais 4 pays qui obligent encore à vacciner et que ce n'est pas une vingtaine mais
une cinquantaine de livres qui sont disponibles sur le marché.

 

Nous n'avons, à ce jour, reçu aucune réponse à ce courrier. Il m'avait également été promis de m'adresser le compte rendu de l'Assemblée générale de la crèche qui abordait cette question et demandait au député de notre région de réintroduire le vaccin DTP, reconnaissance implicite de l'absurdité du règlement exigeant un vaccin qui n'existe plus. J'attends toujours ce compte-rendu...

Il était à la base prévu d'engager les actions suivantes, avec l'aide de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations à Annecy:

1. Un site d'information sur ce scandale et les vaccins (vous y êtes!)

2. Une pétition

3. Une plainte contre la crèche qui n'a légalement pas le droit de refuser un enfant bénéficiant d'une contre-indication.


Au final, ce site d'information sera notre seule action concrète pour le moment. En effet:

La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations à Annecy, n'a pas souhaité utile de nous aider, préférant apparemment se concentrer sur ses propres actions personnelles (le travers malheureusement de la plupart des associations). Tant pis pour ce scandale bien concret pourtant susceptible de faire bouger les choses... Pour de véritables actions, adressez-vous apparemment plutôt à L'Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé.

Surtout, une condamnation de l'Etat français prive la pétition d'une bonne partie de sa substance. En effet "en septembre 2013, après dix-sept ans de procédure, le Conseil d'Etat a confirmé la condamnation de l'Etat à rembourser la Mutualité sociale agricole et les parents de la petite Inès des frais occasionnés par son handicap. [...] Le fait important est résumé en fin de l'arrêt qui rappelle que: "Dès lors qu'un vaccin comporte au moins une valence correspondant à une vaccination obligatoire et qu'il n'est pas démontré que les troubles seraient exclusivement imputables à l'une de ses valences facultatives, le dommage entre dans le cadre [...] du Code de la santé publique prévoyant que la réparation d'un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire est supportée par l'Etat." (Source: Principes de Santé  N°60, Octobre 2013)

En clair, il a fallu près de vingt ans de procédure (scandaleux!) mais l'Etat est enfin placé devant ses responsabilités: si vous faites vacciner votre enfant avec un vaccin contenant au moins une valence obligatoire, vous serez normalement indemnisé des dommages subis. Le plus gros scandale "politique" est ainsi terminé...

Il demeure le scandale sanitaire. La plupart des parents ignorent la dangerosité des vaccins ou subissent les pressions des crèches mais ne leur appartient-il pas de s'informer et de refuser les manipulations ? L'information et les solutions alternatives existent, la preuve! 

 

 

Ce que vous pouvez faire ?

« La démocratie est l'organisation sociale qui tend à porter au maximum la conscience et la responsabilité civique de chacun.» disait Marc Sangnier.

Merci de nous aider, via ce scandale sanitaire, à essayer de rétablir une démocratie digne de ce nom !

L'information est présente pour ceux qui la cherchent mais elle est le plus souvent occultée par les médias et les discours officiels. De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer le scandale vaccinal mais ils sont le plus souvent discrédités... au point que l'on pourrait comparer les adeptes des vaccins à une secte. En effet:
 

La Secte Vaccinale et son Gourou Pasteur

  • Le dogme vaccinal n'admet pas de contestation.

  • Les bases scientifiques sont obsolètes au point que la croyance prime désormais sur la raison.

  • La manipulation repose sur la peur et de fausses croyances.

  • Des vexations administratives sont mises en place (entrée en crèche, colonies de vacances, scolarité,...)

  • Des menaces et des insultes sont proférées envers ceux qui osent s'interroger.

  • Le Gourou est divinisé en dépit d'une biographie entachée d'escroqueries et de meurtres (enfants tués par le vaccin innoculé).

  • Le business est extrêmement lucratif : 21 milliards d’euros en 2010!

  • Les enfants victimes sont affaiblis et deviennent tributaires de la médecine allopathique.

  • Le mensonge et la désinformation règnent en maître...

  • Les plus touchés sont les plus naïfs et les moins bien éduqués.

  • Les adeptes sont minoritaires (4 pays seulement en Europe exigent encore une vaccination)

 

« Le mal ne vient pas toujours de ceux qui le font,
mais de ceux qui le laissent faire
»
(Albert Einstein)

 

Renseignez-vous, informez-vous, réfléchissez à qui a réellement avantage à imposer les vaccins puis aidez-nous à diffuser l'information et à faire évoluer les choses:

  • Refusez la vaccination tant que des valences non obligatoires (inutiles et/ou dangereuses) sont incluses dans le vaccin proposé. La santé des enfants prime sur leur inscription en crèche et, si de plus en plus de parents se manifestent, si de plus en plus de citoyens sont informés, les règlements seront modifiés!

  • Demandez à votre médecin des informations précises sur les adjuvants utilisés et les effets secondaires. S'il ne sait pas ou ne veut pas savoir, envisagez d'en changer!

  • Lisez au moins l'un des livres suivant pour avoir des données scientifiques fiables et faire avancer le débat.

  • Si vous connaissez des journalistes ou des personnalités politiques ou publiques, invitez-les au débat!

Nos enfants méritent notre protection. D'avance, merci!

 


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Dessin et texte Bickel, www.bickel.fr

 

 

Annexes à nos courriers:

Comment gérer la fièvre chez l'enfant

La fièvre de l'enfant est l'un des motifs les plus fréquents de consultation en pédiatrie et une source d'angoisse pour beaucoup de parents. À tort, selon les spécialistes qui estiment que ce symptôme - défini par une température supérieure à 38° - est trop souvent traité par des médicaments. Pour lutter contre «la phobie de la fièvre» et aider les médecins à éduquer les familles, l'Académie américaine de pédiatrie vient de publier de nouvelles recommandations.

«Plus que de maintenir une température normale, l'objectif principal est d'aider l'enfant à se sentir plus confortable», souligne-t-elle en rappelant que la fièvre est une réaction physiologique qui peut aider à lutter contre une infection. En clair, les antipyrétiques ne sont pas systématiquement nécessaires. Il est d'ailleurs inutile de réveiller un enfant pour lui en administrer, écrit l'Académie américaine de pédiatrie. De fait, aucun de ces médicaments n'a prouvé d'efficacité pour prévenir la principale complication de la fièvre chez les moins de 5 ans, les convulsions fébriles.

Ces recommandations rejoignent celles en vigueur en France depuis 2005. « La fièvre est un symptôme, l'essentiel est de comprendre son pourquoi, mais la supprimer systématiquement est un mauvais principe», assure le Pr Alain Chantepie, président de la Société française de pédiatrie. «On ne traite pas une température, mais un enfant. La seule raison valable de faire baisser la fièvre, c'est pour son confort», confirme le Pr Jean-Marc Treluyer, pédiatre et pharmacologue à l'université Paris-Descartes.  (Source : sante.lefigaro.fr)

 

Et sur le Paracétamol largement utilisé à la moindre fièvre :

Le paracétamol représente la première cause d'hépatite potentiellement mortelle en France.

Le paracétamol est toxique pour les reins et cette toxicité pourrait s’exercer aux doses thérapeutiques en cas de prise prolongée, ce qui n’est pas indiqué sur la notice !

Le paracétamol constitue un facteur de risque important pour le développement de l'asthme. Les enfants à qui l'on a administré cet antidouleur au cours de leur première année présentent un risque majoré de 46% de devenir asthmatiques cinq ans plus tard.

Ces chiffres sont tirés d'une étude internationale réalisée auprès de 205.000 enfants dans 31 pays, publiée dans le magazine spécialisé The Lancet. Sous la direction du professeur Beasley du Medical Research Institute en Nouvelle-Zélande, des chercheurs ont observé, outre le lien avec l'asthme, un risque majoré de 48% de rhinite, une réaction inflammatoire de la muqueuse nasale, et de 35% d'eczéma. Pour les bébés qui avaient recu pendant un mois du paracétamol, le risque était même triplé par rapport aux enfants qui n'avaient pas eu de paracétamol.

Le paracétamol accentuerait les allergies chez les bébés : c'est l'un des résultats d'une étude menée par des chercheurs de l'UCL sur quelque 225 enfants qui ont aujourd'hui 5 ans et qui ont été suivis régulièrement depuis leur naissance.

La pédiatre Françoise Smets, qui dirige cette étude, explique : "Il est probable qu’au plus l’enfant prend du paracétamol au plus le risque d’apparition d’une allergie augmente. C’est certain que cela renforce le message de ne jamais utiliser ces médicaments quand ils ne sont pas vraiment indispensables".

(Sources : Femininbio.com, e-sante.be et rtbf.be)                                                  

Une parenthèse qui était jointe à l'un de nos courrier mais qui en dit long sur la perception de la maladie
et du moindre symptôme dans la médecine allopathique... ainsi que de la peur des convulsions
qui règne dans la majorité des crèches. Il n'y a évidemment pas que les vaccins qui font des dégâts!

 

© Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

ANNEXE : QUELQUES DONNEES SUR LES VACCINS (ET LES MANIPULATIONS)
Tirées du livre de Sylvie Simon, Vaccins, mensonges et propagandes

    

 « Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode ; je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences. » (Pasteur - qui n’était pas médecin - au Dr Navarre)

« Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne » (Pr Michel Peter, membre de l’Académie de Médecine). De fait, Pasteur a entraîné la mort d’un jeune garçon via sa vaccination.

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection […] Le mal qui est fait est incalculable. » (Pr. R. DeLong, Virologue et immunologiste de l’Université de Toledo, USA)

« Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais ils continuent de le vendre. […] L’immunisation des enfants fait plus de mal que de bien » (Dr J. Anthony Morris, virologue et ancien chef de contrôle des vaccins pour la FDA Américaine)

Les alternatives au DTPolio® introuvable ne correspondent pas au caractère légal de l’obligation vaccinal en France :

Revaxis® que le Dr [masqué] m’a présenté comme « non dangereux » et voulait inoculer à [notre fils] à l’âge de 7 mois peut, selon les termes de l’AFSSAPS  « être administré, à titre exceptionnel, aux enfants à partir de l’âge de six ans en rappel d’une vaccination antérieure. »  Inefficace en primo vaccination, dangereux (voir mon courrier de sept 2012) et inapproprié pour les nourrissons.  Qui dit mieux ?

InfarixHexa®, destiné aux nourrissons, contient les valences contre la coqueluche, l’haemophilus et l’hépatite B.  Ce vaccin comporte au total 25 anti-gènes, plus de l’aluminium, du phénoxyéthanol et 2 antibiotiques. Le Dr Le Houezec, pédiatre, s’attend donc à « de sérieux problèmes dans les mois et années à venir chez les nourrissons et les jeunes enfants de notre pays. » Le vaccin anticoquelucheux est reconnu par tous les spécialistes comme le plus dangereux de tous les vaccins de routine administrés aux enfants en raison des complications neurologiques qu’il induit.

Le tétanos ne menace aucun enfant né d’une mère en bonne santé, dans un pays où l’hygiène n’est pas remise en cause. […] Environ 50% des malades guérissent spontanément, ce qu’on nous cache soigneusement, et parmi les quelques 26 cas de tétanos par an en France, la moyenne d’âge est de 78 ans.  « Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie ? » (Pr. Jules Tissot)

Il existe « une sous notification très nette des effets indésirables des vaccins » (Anne Castot de l’AFSSAPS)

« Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies. » (Dr Yves Couzigou)

« Par l’injection de substances toxiques dangereuses, l’acte vaccinal affaiblit toujours l’organisme. Toute agression de la barrière cutanée constitue un viol et met en branle le système immunitaire. […] Dans la plupart des cas, les enfants vaccinés voient leur vitalité diminuer et leurs réactions immunitaires s’émousser. » (Jacqueline Bousquet, biologiste et immunologiste)

« Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme » (Pr R. Bastin)

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant, laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies à cause d’une dysfonction immunitaire. » (Drs John Criss Hoffmann et Horold Buttram)

Tous les vaccins sont susceptibles de provoquer un choc anaphylactique. Pour La Revue du praticien : « Une surveillance pendant douze heures au moins en milieu hospitalier est donc obligatoire car la mort peut survenir rapidement. »

Louis-Claude Vincent (dont la bioélectronique est utilisée par la NASA pour contrôler l’état de santé des cosmonautes) a démontré de façon incontournable que par déplacement du terrain toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies virales ou bactériennes et au cancer

« On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant – par méconnaissance des mécanismes du vivant – de reconnaître les conséquences néfastes du déplacement du terrain. » (Jacqueline Bousquet, biologiste et immunologiste au CNRS)

L’Institut Robert Koch, la plus haute instance de santé allemande au service du ministère fédéral de la Santé a mené une enquête statistique de mai 2003 à mai 2006 sur 17 461 enfants, récoltant 20 millions de données. La vaccination n’est pas obligatoire en Allemagne. Résultats : les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9% contre 10,6%), nettement moins d’asthme ou de bronchite chronique (18% contre 2,4%), d’herpès (12,8% contre 0,2%), de migraines (2,5% contre 1,1%), d’épilepsie (3,6% contre 0,3%), d’hyperactivité (7,9% contre 2%) ou encore d’otite (11% contre 2%).

Le marché mondial des vaccins dépasse les 21 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2010 (contre 8,5 milliards en 2006) dont 25% du marché pour Sanofi-Pasteur. En  mars 2008, Sanofi-Pasteur diffusait en interne un document mentionnant la nécessité de « neutraliser la grande presse »…

« La manipulation médiatique aux Etats-Unis est plus efficace qu’elle ne l’était dans l’Allemagne nazie, car les gens croient qu’ils ont accès à toute l’information. Cette mauvaise conception les empêche de rechercher la vérité. » (Crispin Miller, professeur de journalisme à l’université de New York)

Aux Etats-Unis, plus de mille milliards de dollars ont été payé depuis 1990 en dédommagement d’accidents vaccinaux. Sur chaque vaccin, 75 cents sont prélevés pour le Programme de Compensation des accidents mis en place par le Congrès.

Chez nous, si les parents « obéissent » aux conseils des instances de santé, les enfants reçoivent déjà 46 injections avant l’âge de six ans.

« La meilleure façon de faire consommer de la médecine est de nourrir la légende du corps fragile et de ses agresseurs surpuissants. » (Pr Jean Paul Escande)

95% des gens sont naturellement immunisés contre la polio en dehors de toute vaccination (Dr Morton Klein)

« Les vaccinations massives dans le tiers-monde n’ont pas réduit la mortalité infantile et ont en revanche privé ces pays d’une aide qui aurait été beaucoup plus précieuse : une aide alimentaire de base et une distribution d’eau propre. » (Dr Mohamed Bouguerra, Directeur de recherche associé au CNRS)

« 68.3% seulement des parents qui ont au minimum le niveau du bac vaccinent leurs enfants contre 82% et même plus chez les ouvriers » (Courrier d’Alis, sept 1994)

« L’obligation vaccinale fait des familles une clientèle captive pour le pédiatre et le généraliste » (Claudine Marenco, Directeur de recherche au CNRS)

La sclérose en plaque était quasiment inconnue chez l’enfant avant l’introduction du vaccin contre l’hépatite B. « 30% des affections démyélinisantes signalées chez l’enfant de moins de 15 ans sont apparus dans le délai d’un mois ou moins après une vaccination. » (Dr Dominique Le Houezec)

Après les accidents, le cancer est la seconde cause de mortalité chez les enfants de moins de 12 ans. Pourquoi une maladie de dégénérescence si précoce ?

« Les nouveaux vaccins sont maintenant issus d’OGM et de produits de synthèse. Or le vivant ne reconnaît pas ces molécules et ne sait pas les traiter. […] Le système immunitaire est le bien le plus précieux de l’individu, le garant de sa personnalité ; prétendre le protéger au moyen d’une agression directe au mépris des Lois de la Nature est purement criminel. […] Les vaccinations ne sont évidemment pas protectrices mais vectrices de maladies lesquelles, même si elles ne sont pas visibles immédiatement, peuvent se déclarer à moyen ou long terme […] ouvrant la porte à toutes les pathologies qui caractérisent notre époque et que l’on nomme « maladies de civilisation », en pleine expansion depuis que les vaccinations de massage ont été prodiguées. » (Jacqueline Bousquet, Biologiste, Chercheur honoraire au CNRS)

« Primum non nocere. Avant tout, ne pas nuire » (Hippocrate, Père de la Médecine)
                                                   

 


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Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

Extraits d'ouvrages sur le sujet:

Après le livre de Sylvie Simon - la spécialiste en la matière, auteur de plusieurs excellents ouvrages sur le sujet - voici un livre qui mérite mieux que son titre!  Il ne s'agit pas tant en effet d'une attaque en règle contre le Gourou Pasteur que d'une analyse très fine et rigoureuse du dogme vaccinal, de son contexte (loi de la jungle de Darwin) et de ses travers scientifiques mais aussi une interrogation sur le sens de la maladie, le rôle des bactéries, des virus et des maladies infantiles et un appel au bon sens et aux voies naturelles. Très bien écrit, cet ouvrage se lit presque d'une traite: à recommander vivement!
 

POUR EN FINIR AVEC PASTEUR du Docteur Eric Ancelet

    


"La science "objective" devenue Religion officielle, la vaccinologie s'est imposée progressivement comme l'un des outils essentiels du contrôle psychosocial des populations fortement immunodéprimées et vouées, dès lors à l'infantilisme et aux dépendances." (p.18)

"Le vaccin diffuse des informations erronées, biologiquement perverses, qui sont à l'origine de nouveaux disfonctionnements neuro-endocrino-immunitaires, de nouvelles formes de la maladie chronique qu'il nous faudra contrôler par des moyens de plus en plus agressifs et lourdement invalidants" (p.22)

"Les rares médecins restés fidèles à la Tradition, qui s'évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais comme tous les dogmes: le mythe pastorien de l'origine bactérienne des maladies." (Dr Jean Emilger, Lausanne, p.25)

"Pasteur n'était pas médecin mais chimiste. [...] Aucun historien des sciences digne de ce nom ne conteste le fait que Pasteur s'est trompé sur de très nombreux points. Aucun ne conteste non plus son opportunisme, les nombreuses entorses à la méthode qu'il professait, ou encore le pillage d'autres chercheurs. Par contre, Pasteur est bien à l'origine du premier grand trust pharmaceutique mondial, devenu aujourd'hui le principal fabricant de vaccins." (Dr. Jacques Lacaze, p.28)

"[...] l'effondrement immunitaire est historiquement corrélé à la généralisation progressive des vaccinations infantiles, à ce jour dirigées contre DIX maladies graves inoculées avant l'âge de deux ans [...] Jamais dans l'histoire nous n'avons connu une telle "épidémie" [...] de troubles psycho-émotionnels, de cancers, de malformations congénitales, de maladies génétiques et auto-immunes [...] Une contre preuve est donnée par l'état de santé tout à fait satisfaisant et le bon développement des enfants correctement éduqués et nourris mais non vaccinés." (p.44)

"Il n'est pas agréable de soupçonner un jour que l'information officielle, notamment dans le domaine médical, est volontairement tronquée pour maintenir les intérêts de lobbies industriels dont la seule motivation est l'exploitation systématique d'une humanité maintenue en servitude par la peur et une illusion de sécurité. Certes, il n'est pas facile de prendre conscience que les programmes sanitaires internationaux perpétuent sans doute, sous couvert d'humanisme, le plus gigantesque génocide de l'histoire du monde." (p.52)

"Louis Pasteur fut un arriviste sans scrupules, assoiffé de célébrité, sectaire, fanatique et prêt à toutes les duplicités pour imposer son nom et lancer une gigantesque entreprise commerciale capable de vendre d'abord, puis de faire imposer par la loi ensuite à des centaines de millions d'enfants et d'adultes des vaccins préparés à grands coups de grossières erreurs scientifiques délibérément camouflées" (Revue l'Ère Nouvelle, 1987)

"Depuis trois-quarts de siècles quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur et que l'on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux." (Professeur Jules Tissot, en 1946)  Ces quatre dogmes sont la panspermie atmosphérique, l'asepsie des organismes vivants, la contagion et le monomorphisme" (p.85)

"Pasteur ignorait tout de la nature et de la biologie des virus, tel celui de la rage qu'il inoculait pourtant à travers la peau des enfants sans tenir compte de leur sensibilité individuelle. Nos modernes vaccinateurs en savent-ils beaucoup plus aujourd'hui ?" (p.86)

"La vaccination et la transgenèse font partie de ces techniques appliquées sans aucun fondement théorique solide" (p.88)

"Le 19 octobre 1868, à l'âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d'hémiplégie qui paralyse son côté gauche. [...] L'hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspond classiquement à la part féminine de l'être, à la passion, au sens artistique, à l'intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s'est construite sur des valeurs purement masculines, l'action, l'affrontement, l'analyse, la raison, que toute la biologie pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?" (p.90)

"Hier comme aujourd'hui, la vaccination est avant tout un acte de foi" (p.94)

"Toutes les vaccinations induisent des troubles subaigus ou chronique du système immunitaire, donc de la personnalité biologique, aggravés de rappel en rappel et de génération en génération." (p.100)

"En juillet 1885, après plusieurs décès suite à un traitement jugé "insuffisant", il inocule un enfant de neuf ans, le désormais célèbre Joseph Meister qui sera le "premier miraculé de la nouvelle méthode".  [...] A quoi le jeune Meister a-t-il survécu au juste ? Rien ne prouve que le chien mordeur était enragé [...] D'autres enfants furent paraît-il mordus par le même chien sans doute affamé ou battu, et aucun ne contracta la rage. [...] On sait depuis longtemps qu'un animal réellement enragé ne transmet la maladie que dans un nombre réduit de cas, entre 5 et 15%. [...] A cette époque, on compte en France moins de 30 cas de rage mortelle par an, soit moins de 10% des personnes mordues par des chiens certifiés enragés." (p.105-106)

"Parmi les nombreuses "bavures" de l'époque, il y eut surtout le cas de l'enfant Jules Rouyer, incontournable puisqu'il existe un témoignage écrit d'Adrien Loir. [...] Mordu le 8 octobre 1886, inoculé selon cette technique intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père porte plainte alors que Pasteur est absent de Paris. L'autopsie est confiée à un médecin légiste, doyen de la Faculté de Médecine de Paris et ami de Pasteur: le professeur Brouardel. [...] Il n'y a donc plus aucun doute: l'enfant est décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C'et très simple: un faux témoignage "pour sauver la confiance du public dans la médecine scientifique et la prévention vaccinale. Pieux mensonge, à la mesure des bienfaits immenses que l'oeuvre de Pasteur apporte à l'humanité." (p.107-108)

"Plusieurs enfants mourront suite aux injections expérimentales de ce serial killer devenu l'un des héros immortels de son pays, l'un des hommes les plus admirés au monde. Des plaintes seront déposées pour homicide, par de pauvres gens sans notoriété ni moyens, mais resteront ignorées par la justice car Pasteur est alors un homme protégé. Son premier vaccin sera fabriqué et diffusé sur la base de deux cas jugés significatifs, deux jeunes garçons robustes qui ont survécu non pas à la morsure d'un chien dont on n'a jamais prouvé qu'il était enragé, mais aux injections mortelles du vieux chimiste mégalomane. Très vite, ce vaccin va provoquer une hécatombe et sera retiré du marché car il n'est pas bon que les vaccinés meurent trop vite après l'inoculation. Pasteur devait le pressentir, car il a toujours prudemment refusé de s'inoculer quoi que ce soit." (p.254)

"L'OMS recommande que tous les enfants fiévreux amenés dans les hôpitaux et dispensaires soient vaccinés "tant qu'on les a sous la main", alors que la fièvre, la malnutrition et l'existence de maladies infectieuses chroniques constituent une contre-indication majeure à toute vaccination. [...] Au total, de 1980 à 1995, 1 200 000 enfants ont été atteints d'une paralysie plus grave à cause d'injections inutiles. Toujours en Inde, 20 à 30% des enfants atteints de poliomyélite paralytique étaient à jour de leurs vaccinations. [...] La diminution des cas en Occident n'est pas liée à la vaccination mais à l'évolution des conditions sanitaires. De 1977 à 1990, 10% des cas enregistrés en France (11 sur 108) étaient dus au vaccin." (p.114)

"Les successeurs [de Pasteur] ont décidé d'ignorer que sur son lit de mort le vieil homme confia à un proche: "le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout" [la formule de Claude Bernard, contemporain et rival de Pasteur, avec Antoine Béchamp] (p.117)

"Les vaccins sont tous potentiellement dangereux, totalement contre-indiqués avant l'âge de deux ans et fortement déconseillés avant l'âge de sept ans. Ils devraient être utilisés très parcimonieusement, dans des situations exceptionnelles, en tout dernier recours, lorsque toutes les solutions alternatives ont été épuisées, et en oeuvrant à leur abolition définitive." (p.131)

"On s'aperçoit aujourd'hui que chaque individu a ses propres virus, ce qui explique en partie l'inefficacité des vaccins, mais aussi leur danger par inoculation standardisée d'une information génétique trafiquée, un leurre qui trompe le système immunitaire et peut modifier irréversiblement le génome de l'hôte" (p.153)

"La plupart des parents sont hantés par le spectre des convulsions et du délire fiévreux, en relation avec leurs propres terreurs enfantines (les angoisses de leurs propres parents) et leur asservissement aux dogmes médicaux en vigueur, une peur irraisonnée entretenue et amplifiée par certains médecins devenus incapables de comprendre la nature profonde de ces processus vitaux. Le discours vaccinaliste est entièrement construit sur la peur des complications, lesquelles sont bien souvent la conséquence de l'acte vaccinal lui-même." (p.177)

"Chez le nouveau-né, les lymphocytes sont présents, mais ils sont eux aussi... nouveau-nés! Leur éducation n'est pas terminée et ils ne savent pas communiquer correctement avec les mots chimiques qui constitueront ultérieurement leur langage. Les promoteurs de la vaccination infantile précoce, multiple, systématique et obligatoire, n'ont pas l'air d'avoir très bien saisi cet aspect élémentaire de la biologie.[...] La capacité de régulation débute vers l'âge de deux ans (l'enfant se met à parler) et atteint sa pleine maturité vers 10 ou 12 ans. Quel peut dès lors être l'effet des multiples vaccins injectés aux nourrissons ?" (p.178)

"Selon le dogme, être bien vacciné, donc bien immunisé, c'est avoir des anticorps circulants dans le sang. [...] Pourquoi la séropositivité vaccinale est-elle recherchée alors que la séropositivité naturelle est considérée comme de mauvais pronostic (sida, hépatites...) ? [...] Chez les sidéens gravement atteints de plusieurs maladies "opportunistes", les taux d'anticorps sont énormes, pouvant atteindre 75% au lieu de 15 à 17% chez le sujet sain! Les anticorps ne sont donc pas protecteurs, et leur production massive traduit plutôt un affolement et une défaillance du système immunitaire devenu incapable de contrôler la situation.[...] Ainsi, les essais préliminaires d'un vaccin anti-sida chez des séropositifs asymptomatiques (sans troubles visibles) se sont tous soldés par une aggravation très rapide et une mort prématurée. [...] Les anticorps n'ont aucun rapport avec l'immunité vraie, laquelle concerne au premier chef les filtres muqueux et les régulateurs cellulaires." (p.181)

"Dans l'immense majorité des cas, les maladies infantiles comme l'ensemble des maladies virales ne se produisent qu'une seule fois. L'immunité acquise naturellement est solide, le plus souvent définitive [...] Le seul effet de la vaccination est d'empêcher le système immunitaire d'utiliser correctement les microbes pour se rééquilibrer!" (p.182)

"Irrecevable sur le plan scientifique, la vaccination doit devenir un acte de foi. Irrecevable sur le plan éthique ou politique, la vaccination doit être imposée par la force, ce que révèle la forme militarisée et policée des campagnes vaccinales." (p.191)

"En 1995, j'eus l'occasion de poser les questions suivantes à un aréopage de savants médecins venus prôner dans un forum la vaccination à outrance: "sachant que de nos jours, en France, tous les enfants de moins de deux ans, immatures sur le plan immunitaire, reçoivent en moyenne une vingtaine de messages vaccinaux, quel sera l'état de leur système immunitaire dans 10 ou 20 ans ? Et que se passera-t-il s'ils sont alors confrontés à un germe résistant aux antibiotiques ou à une maladie virale type Ebola ?" Il y eut alors un très grand, très lourd et très long silence. [...] Finalement, l'un des officiels me fit cette réponse étonnante devant plus d'une centaine de médecins: "nous n'en savons rien" Plus tard, il ajouta: "nous savons que nous sommes allés trop loin, mais il est trop tard, nous ne pouvons plus faire marche arrière". (p.195)

"Un bébé "normalement vacciné" reçoit au moins 8mg d'hydroxyde d'alumine avant l'âge d'un an, au moment où se forme son système nerveux, alors que le système de détoxication hépatique n'est mature qu'aux alentours de 4 ans." (p.198)

"La probabilité est nulle que le nourrisson rencontre ensemble le tétanos, la diphtérie, la tuberculose, la poliomyélite, la coqueluche, la méningite et l'hépatite B (celle-ci est avant tout une maladie sexuellement transmissible, et il est somme toute assez rare que les nouveau-nés aient des rapports sexuels). [...] Grâce aux vaccins combinés, ou administrés sur un temps très court, tous les nouveau-nés rencontrent ces maladies toutes à la fois, sous forme de leurres, et ils n'ont strictement rien à leur opposer. Toute vaccination est donc une infamie avant deux ans, toujours formellement contre-indiquée avant sept ans. Vacciner contre les "maladies infantiles" est la plus grande aberration de l'obscurantisme pastorien, rigoureusement équivalent à interdire à un enfant de marcher ou de parler quand le moment est venu. [...] On en arrive à penser que nos sociétés produisent volontairement des individus immatures, angoissés et suicidaires, sans doute plus faciles à manipuler." (p.200)

"Les nouveaux vaccins, inaugurés avec l'hépatite B, sont fabriqués à partir de cellules animales artificiellement cancérisées, infectées par le virus contre lequel on cherche à se prémunir, et nourries au sérum de veau. A priori, depuis la fameuse "affaire des prions", toute substance d'origine bovine est pourtant interdite dans la fabrication de produits biologiques tels que les vaccins." (p.201)

"Les enfants ayant reçu dans leurs deux premières années de vie une dizaine d'injections vaccinales sont immunodéprimés À VIE." (p.202)

"Guérir, c'est refuser toutes les pollutions, ne plus donner prise aux psychoses collectives, respecter l'autre et dialoguer plutôt que combattre." (p.229)                                                   


©
Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

 

Après la journaliste et le Docteur vétérinaire, c'est au tour d'un avocat de se pencher sur la questions sous forme de 29 questions - très pertinentes - de d'autant de réponses fort bien documentées via des citations de multiples ouvrages (il en liste 47 au total!) Le côté pratique de cet ouvrage réside dans les exemples types de tracasseries administratives susceptibles de se produire lorsque l'on souhaite appliquer le principe de précaution (le cas de notre mésaventure avec la crèche n'étant malheureusement pas traité) et les exemples de courrier type (assez longs) à adresser aux responsables dogmatiques. Bon courage!

 

VACCINS, ON NOUS AURAIT MENTI ? de Maître Jean-Pierre Joseph

    


"Les vaccins, selon de nombreux scientifiques, sont responsables de milliers de maladies neurologiques graves, scléroses en plaques, encéphalites, morts subites du nourrisson... Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la consigne, soit de ne rien dire aux familles, soit de les culpabiliser en disant par exemple "Son organisme n'a pas supporté le vaccin..." Dans certains hôpitaux psychiatriques, il existe des pavillons entiers, peuplés de malades, hospitalisés à vie avec le discret diagnostic d'encéphalite post-vaccinale." (p.25)

"La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur à la conclusion incontournable suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif et qu'il est plus que temps de réagir. En outre, à certaines époques, des médecins dénonçaient le fait que la quasi-totalité de leurs confrères étaient dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques." (p.33)

"Le fait de refuser d'administrer des produits inefficaces et toxiques à des enfants ne peut s'assimiler à une privation de soins, ou à une mise en danger de la vie d'autrui. Bien au contraire, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui et peut, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou d'administration de substances nuisibles." (p.35)

"Il n'a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger... Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle et mène l'humanité à une disparition prématurée. On ne compte plus aujourd'hui les cas de mort subite du nourrisson, sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, cancers, dermatoses, et d'affections nouvelles incurables dues aux vaccins... L'individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus..." (Dr Louis De Brouwer, Vaccination erreur médicale du siècle)

"La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance de l'inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés permanents... Elle encourage la dépendance morale et financière des pays du Tiers monde vis-à-vis des pays occidentaux..." (Dr G. Lanctôt, La Mafia Médicale)

"En résumé, ce sont les pays dans lesquels la vaccination est la moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record des cas de tétanos après le Portugal." (Sylvie Simon, Vaccination, l'Overdose)

"Ce n'est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d'éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais..." (Dr Kris Glaublomme)

"Les japonais, à la suite de quelques décès consécutifs à la vaccination anticoquelucheuse, ont fait passer l'âge des premières vaccinations à deux ans. Ce seul changement dans le calendrier vaccinal a fait pratiquement disparaître les morts subites du nourrisson. Actuellement, grâce à cette mesure, c'est le Japon qui a le plus faible taux de morts subites du nourrisson au monde!" (Dr Jean Meric, Vaccinations, je ne serai plus complice)

"Tout médecin généraliste non obtus sait que l'hépatite B est une maladie qui guérit spontanément dans plus de 9 cas sur 10 [...] En près de 20 ans, et sans vaccination, le nombre de cas d'hépatite B avait diminué de plus de 90%!" (p.76-78)

"L'institut américain de phamacovigilance VAERS estime que de manière générale, un cas sur 100 seulement des accidents post vaccinaux lui sont rapportés." (p.79)

"Un groupe d'infirmière me confia un jour: "Compte tenu du niveau actuel de nos "experts", on se demande s'il ne vaut pas mieux, quand on est malade, de se faire soigner par un vétérinaire plutôt que par un médecin..." (p.84)

"S'il y a eu aux USA 500 décès et 300 000 effets indésirables, nous pouvons donc nous attendre, en France, "grâce" à ce vaccin [contre le cancer du col de l'utérus], à 5 fois moins, soit: 100 décès et 60 000 maladies graves [Selon le VAERS: paralysies, syndromes de Guillain Barré, crises d'épilepsie, attaques cardiaques, fausses couches), pour protéger (soi-disant) 180 filles "risquant" un cancer" (p.96)

"Depuis 1957, l'OMS ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas ce qui est loin d'être la vérité." (Dr Scheibner, Les astuces statistiques)

"Un vaccin est une substance "préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant." (Définition du Petit Larousse). Or, il est évident que les produits inoculés aux français ne sont pas réellement des vaccins puisqu'ils n'immunisent pas et puisqu'ils induisent de graves, voire mortels effets secondaires." (p.145)

"Il est aujourd'hui démontré que la campagne des vaccinations contre l'hepatite B en 1994-1994 a déclenché plusieurs milliers de cas de sclérose en plaque. [...] Dès qu'un nouveau produit concernant le même "vaccin" est mis sur le marché, cela permet de penser à l'inefficacité de l'ancien." (p.145)

"Si vous interrogez des étudiants en médecine, beaucoup vous diront qu'au cours de toutes leurs années d'études, la plupart d'entre eux ont bénéficié d'une séance unique de 2h sur les vaccins, ce qui veut dire qu'ils ne savent rien." (p.155)

"Les parlementaires ayant institué les obligations vaccinales, dans les années 60, connaissaient les risques dus aux vaccinations [...] Ils ont donc assorti l'obligation vaccinale d'examens médicaux préalables à toute vaccination. Si ces textes, parus dès 1959, avaient été appliqués, tout enfant se verrait délivrer, avant toute injection: ou bien un certificat de contre-indication, ou bien un certificat d'indication à la vaccination. Mais, curieusement, ces textes, bien qu'ils aient été repris récemment dans le Code de Santé publique, ne sont jamais appliqués." (p.156)

[Exemple de lettres destinées aux administrations dogmatiques] : "Je suis obligée de constater que la composition des vaccins en pharmacie dans notre région, comprend des produits hautement toxiques. Où puis-je trouver des vaccins dont l'absence de dangerosité est garantie ? Je rappelle en effet que l'administration de substances nuisibles à la santé est un crime puni par la Loi. En connaissant actuellement les risques encourus par un enfant à recevoir une injection dont l'efficacité est hautement discutable, tout citoyen responsable ne peut plus aujourd'hui se voiler la face, et se doit de prendre les plus élémentaires précautions, faute d'être un jour poursuivi pour ne pas l'avoir fait."  (p.162)

"Aucun vaccin ne protège des maladies contre lesquelles il est censé agir [...] Si vous n'êtes pas convaincu de la pertinence de ces critiques, suivez au moins l'exemple de ce tartufe industriel, grand producteur de vaccins contre l'hepatite B, qui adopte sans vergogne le principe de précaution en interdisant cette inoculation à tous les membres de sa famille..." (Dr Jean Elmiger)                                

 

 

Terminons (pour le moment) avec le dessinateur Bickel, qui nous a très gentiment permis d'illustrer cette page de son talent. Son livre est bien davantage qu'un recueil d'une centaine de dessins humoristiques puisqu'il replace aussi la vaccination dans son contexte historique, est parsemé de références scientifiques, de citations de médecins et de diagrammes sans ambiguïté sur la supercherie vaccinale. Un petit dessin valant un grand discours, on fait ainsi un bon tour de la question sans prise de tête. Cerise sur le gâteau: même les enfants apprécient ce qui permet de traiter la question en famille et dans la bonne humeur!  Le livre est disponible en anglais sur Amazon ou en français (eh oui!) directement auprès de l'auteur sur www.bickel.fr

 

VACCINATION: LA GRANDE ILLUSION de Bickel


 

"Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d'enfant de choeur font reculer l'intelligence et donc la civilisation." (Dr. René Dufilho)

"Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique" (Dr. Jacques Kalmar)

"Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science mais sur l'argent." (Pr. Jules Tissot)

"La présence d'un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l'hépatite B est inquiétante... Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l'hépatite B que d'attraper la maladie." (Jane Orient, Médecin, Directrice de l'Association des médecins américains et des chirurgiens)

"Les vaccinations, au moins telles qu'elles sont présentées ressortissent plus à la magie qu'à l'immunologie" (Dr. Jacques Kalmar).

"Les vaccins peuvent causer l'arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, la maladie de Parkinson et le cancer." (Pr. R. Simpson de l'American Cancer Society)

"C'est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu'il n'existe aucun lien entre l'autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations." (Dr. Bernard Rimland, Directeur et fondateur du Autism Research Inst, of San Diego)

"Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient" (Pr. Georges Dick, British Medical Journal, juillet 1971)

"Les cancers en Afrique étaient apparus cinq ans après les premières campagnes de vaccination" (Dr. Albert Schweitzer, Prix Nobel)

"La médecine crée ses propres clients et les prolonge" (Pr. Péquignot, Conférence mondiale des médecins)

"2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin DTP dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain." (Dr. Torch, Neurology 1982.)

"Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d'individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l'échelle planétaire." (Dr. Louis de Brouwer, Sida, le vertige)

"Le drame c'est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessibles qu'à l'erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu'ils ont cultivée avec soin: la force de leur IGNORANCE." (Dr. Jacques Kalmar)

                            

 

© Dessin Bickel, www.bickel.fr

 

Sélection de livres

Journaliste d'investigation scientifique, Docteur ou Avocat, de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer le lobby vaccinal. Plus d'une cinquantaine de livres existent sur le sujet et - détail important - aucun n'a jamais été condamné par la justice! Ce qu'ils révèlent serait-il donc la vérité inavouable ?
 

         

 

         

 

   

 

Réactions à quelques articles "pro vaccination sans réflexion"

La pro-vaccination est la norme dans les médias, peu de journalistes étant encore habitués ou habilités à réfléchir au-delà des préjugés et des intérêts économiques. Il est toutefois surprenant de voir de tels articles dans des publications se prévalant d'une liberté de ton, à l'exemple du Magazine Marianne. D'où mes mails au service des lecteurs, évidemment demeurés sans réponse...

Le 11 mars 2015:


Bravo à Marianne pour votre dossier « Les fous du complot ». Quelle belle démonstration en effet du sérieux journalistique que de parler de tout et de n’importe quoi tout en rajoutant – pour faire bonne mesure – une couche de superficialité !

 

Il suffit dorénavant de parler de la « théorie du complot » – variante du point Godwin – pour discréditer un argument mais il est intéressant de constater à quel point certains journalistes se discréditent aussi facilement eux-mêmes. C’est à se demander si leur "imposture" (faire passer de la manipulation pour de l’information) n’est pas la première cause du succès de ces « théories du complot »…

 

Démonstration avec l’article « Les grands malades de la santé ».

 

Il est certainement plus facile d’ignorer la cinquantaine de livres contre les vaccins que d’en ouvrir un, plus amusant de ridiculiser la crème Budwig que de se pencher sur les travaux du Dr. Kousmine, plus caricatural de parler de « bouteille d’huile de lin » que de la vitamine B17, plus « politiquement correct » de reprendre les thèses officielles que d’envisager un autre paradigme…. « L’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, c’est le mythe ! » écrivait Boris Cyrulnik.

 

Si « la parole des experts, des médecins, des scientifiques ne paraît plus légitime », n’est-ce pas avant tout parce que les conflits d’intérêts et le dogmatisme sont monnaie-courante ?   Voilà belle lurette qu’il n’est plus question de science mais de scientisme, moins question de santé que de gestion de la maladie… en effet autrement plus rentable !

 

La France est le premier fabricant mondial de vaccins et l’un des rares pays en Europe a encore imposer la vaccination… mais cela n’a évidemment rien à voir !  De même, les allemands sont certainement de « grands malades », eux qui ont diligenté une étude à grande échelle démontrant la meilleure santé des enfants non vaccinés…  Voir http://lemendiant.fr/vaccins/index.htm

 

N’est-ce pas d’ailleurs le seul argument valable : l’épreuve et les preuves des faits ?  N’est-il pas pour le moins paradoxal de constater que nous autres « grands malades de la santé », sommes en général – et avec nos enfants – en bien meilleure santé que les autres ?  Mais cela, pas question évidemment d’en parler !  Alors, complot journalistique ?

 

Frat’airnellement,

 

Le Mendiant

            


Le 16 avril 2015

Bonjour,

[...] 

Le cœur du débat maintenant: "le virus du doute" (N°936, p.11)  Une nouvelle fois, un journaliste de Marianne démontre que la pensée unique est à ce point confortable qu'elle annihile tout esprit critique: 

-        La peur des aiguilles ?  Merci de caricaturer à ce point les "anti-vaccinations" mais les aiguilles sont vraiment le cadet de nos soucis !

-        Le DTP reste obligatoire ?  Oui mais il demeure surtout introuvable, remplacé par des vaccins renfermant 2 ou 3 autres valences (et évidemment bien plus coûteux). Le rappeler serait-il déjà trop borderline ?

-        Le mépris de la santé publique ?  J’aimerais que l’on m’explique quel risque fait courir un non-vacciné à la société si les vaccins sont véritablement efficaces ?  N’y aurait-il pas là contradiction ?  Les allemands ou les suisses sont-ils des pays où la santé publique est déficiente ?

-        La multiplication des vaccins dont l’efficacité n’est pas démontrée ? Oui et c’est le cas pour le DTP associé aux autres valences. Comme le rappelle le Docteur Eric Ancelet, « La probabilité est nulle que le nourrisson rencontre ensemble le tétanos, la diphtérie, la tuberculose, la poliomyélite, la coqueluche, la méningite et l'hépatite B (celle-ci est avant tout une maladie sexuellement transmissible, et il est somme toute assez rare que les nouveau-nés aient des rapports sexuels). »

-        La négation des possibles effets secondaires graves de certaines piqûres ?  Votre journaliste pose quelques bonnes questions  mais demeure prisonnier du dogme : les vaccins sont dangereux mais il ne faut surtout pas les remettre en cause !   N’est-ce pas pourtant le rôle des journalistes de creuser un minimum les sujets ? En lisant l’un des cinquante livres disponible sur le sujet par exemple ?

-        La réapparition de la rougeole ?  Comment expliquer, à rebours, si la vaccination était efficace, la non-éradication du tétanos, dont la survenance n’entraîne d’ailleurs aucune immunisation ?  Le principe même des vaccins serait-il donc à revoir ?

-        La patrie de Pasteur ?  Oui et aussi la patrie du premier fabricant mondial de vaccins et une exception européenne puisque quasiment tous les autres pays européens ont supprimé la vaccination obligatoire!  Au passage, Pasteur n’était pas médecin mais chimiste, a reconnu s’être trompé et n’a jamais accepté de se faire vacciner !  Périco Légasse a bien le droit de s’en prendre à la pasteurisation des fromages (page 85) mais, s’en prendre à la vaccination, surtout pas, sujet tabou !

Etonnant comme vous êtes, sur certains sujets, réfractaire à toute remise en question… Le jour où Marianne interrogera véritablement le « système de maladies français », dont les vaccins sont évidemment la première étape en mettant à plat le système immunitaire des nourrissons, ce sera, pour le coup, un grand bond en avant !

Frat’airnellement,

Le Mendiant

PS : votre article et cette réaction seront publiés sur mon site http://www.lemendiant.fr/vaccins/index.htm

           

 

« Celui qui ne gueule pas la Vérité, quand il connaît la Vérité,
se fait le complice des menteurs et des faussaires
»
(Charles Péguy)

 

D'autres scandales et manipulations ?
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Le conte alimentaire gratuit Bon appétit!

 

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