La qualité de l'eau : les solutions 
	pour une eau au naturel, sans plastique... et sans risques !
	Quand parle-t-on de la qualité de l'eau dans les médias ? 
	Presque jamais. Et qu'est-ce que d'ailleurs, au-delà des piètres normes de 
	potabilité, que la qualité de l'eau ? Une chose dont on ne parle jamais à 
	propos de l'eau est son énergie. D'un point de vue énergétique, eau du 
	robinet et eaux minérales en bouteilles en effet se valent c’est-à-dire ne 
	valent pas grand-chose. Dans les deux cas, ces eaux sont "mortes" ou plus 
	scientifiquement parlant, manquent d'activité protonique (mesure du pH) et 
	d'électrons (mesure du rH2). Voilà, pour commencer, la vrai qualité de l'eau 
	!  Après une série de questions-réponses afin de limiter la prise de 
	tête, Benoît Saint Girons aborde les critères qualitatifs de l'eau avant de 
	noter - une première - les différentes qualités d'eaux courantes et inviter 
	à une consommation responsable. Enfin, il analyse les différentes solutions 
	technologiques pour améliorer sensiblement son eau et retrouver (enfin) le 
	plaisir de boire. Car cela coule de source : nous sommes mal en point car 
	nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous 
	beaucoup mieux !
	
 
	L a Q u a l i t é d e l' E a u
	Les solutions pour une eau au naturel, sans plastique... et sans risques !
	Editions Médicis, 2020
	
	A quoi bon révéler les scandales s’il n’y avait des solutions ?
	Après avoir subtilement noté les différents types d’eau et démontré que eau 
	du robinet et eaux minérales en bouteilles se valent c’est-à-dire ne valent 
	pas grand-chose du point de vue de leur biocompatibilité, l'auteur donne – 
	une première dans un livre – les clés pour sélectionner l’approche la mieux 
	adaptée à son environnement… et à son budget.
	
	L’objectif n’est pas de stresser devant son eau mais de lui faire retrouver, 
	à partir de l’eau potable du robinet, ses propriétés d’eau "vivante" au 
	naturel, sans plastique ! Alors l’eau redevient un réel plaisir… et le 
	premier facteur de la vitalité.
	
	Avec plus de 99% des molécules de nos cellules, l’eau est naturellement 
	prioritaire. A la limite, à quoi bon consommer bio si mon eau n’est pas de 
	qualité ?
	
	Ce livre de référence dérangera le système et les arnaqueurs de l’eau mais 
	il permet de passer enfin à autre chose : la prise en compte des besoins de 
	l’homme et de la vie ! Attention : votre vision de l’eau (voire du monde) ne 
	sera plus la même après avoir bu ce livre…
	SORTIE DU LIVRE EN MARS 2020
	L’eau est mystère et mystérieuse et c’est très beau comme cela.
	La formule H2O est loin de rendre compte de la complexité de l’eau. 
	L’eau est indissociable de la vie et donc nécessairement énergie.
	
	Une bonne eau est avant tout une eau que l’organisme redemande, qui nous 
	apporte de l’énergie, nous nettoie et se boit avec facilité grâce à une 
	texture fine et hydratante.
	De ce point de vue, la meilleure eau est l’eau la plus naturelle : l’eau de 
	source !
	Les paramètres de cette eau idéale sont connus mais dérangent car ils sont 
	contradictoires avec les eaux traitées du robinet et les eaux industrielles 
	en bouteille :
	
	L’absence de polluants
	Le moins de minéraux possibles
	Le plus d’énergie possible 
	
	Il est rare de disposer d’une telle eau dans son jardin et à fortiori dans 
	sa rue et il conviendra donc de faire des compromis. 
	La base de travail est l’eau du robinet, disponible partout et peu coûteuse.
	L’outil de travail est une dynamisation de qualité, précédée – notamment si 
	l’eau est chlorée – d’une filtration de base.
	Toutes les filtrations ne se valent pas et tous les procédés de dynamisation 
	non plus. Il convient d’éviter les pièges marketing des premiers et les 
	travers pseudo-scientifiques des seconds.
	Alors s’ouvre la compréhension de la véritable eau de qualité.
	Alors, perspective écologique réjouissante, il est possible de dépasser 
	enfin la problématique du plastique !
	
	A RETENIR
	
	Nous avons, en Occident, la chance d’avoir de l’eau potable sur tous nos 
	robinets.
	Nous pourrions ainsi commencer par remercier nos pouvoirs publics, 
	ingénieurs et autres techniciens de l’eau. 
	Cette gratitude ne devrait toutefois pas nous empêcher de questionner les 
	normes techniques et le marketing déployé.
	La pureté de l’eau est impossible à atteindre et serait problématique. 
	La qualité de l’eau n’a rien à voir avec son goût, son calcaire ou sa 
	richesse en minéraux.
	L’eau en bouteille n’a pas de chlore mais d’autres polluants dont des 
	minéraux en excès.
	Les paramètres qualitatifs de l’eau sont énergétiques : l’activité des 
	protons + électrons !
	Il est relativement facile de filtrer et de redonner de l’énergie à l’eau…
	
	La qualité finale de l’eau est une responsabilité individuelle
	Absolument !
	
	L’eau est « malade de l’homme » mais il ne s’agit pas d’une fatalité. 
	Il nous appartient, en premier lieu, de rejeter la médiocrité de l’approche 
	quantitative. La notion de qualité est toujours absente des slogans ou 
	messages officiels : 5 fruits et légumes bourrés de pesticides par jour, 
	vraiment ? Du lait ou des laitages pasteurisés à tous les repas, vous êtes 
	sûr ? 11 vaccins pour tous les nourrissons au nom de la santé publique, 
	sérieusement ? 
	Les pouvoirs publics procurent une eau potable pour (quasiment) tous les 
	robinets, merci ! Au citoyen ensuite de faire ce qu’il faut pour la rendre 
	biocompatible c'est-à-dire adaptée aux besoins de son organisme via 
	différentes considérations personnelles.
	
	La lecture du dernier chapitre et un minimum de réflexion et 
	d’investissement seront nécessaires mais la perspective est enthousiasmante.
	
	Un système performant de filtration et de dynamisation permet en effet 
	d’obtenir chez soi, sans effort, une eau de qualité biocompatible… pour un 
	budget toujours inférieur aux eaux en bouteille sur le moyen terme, un gain 
	de vitalité, la préservation de la planète via les économies de plastique 
	voire de médicaments en prime !
	Eh oui : faire le choix de l’eau de qualité est une approche autrement plus 
	écologique que de se laisser lentement intoxiquer le corps et l’esprit. J’ai 
	dis NON aux manipulations. J’ai décidé d’aller mieux. J’ai retrouvé enfin 
	l’énergie de boire avec plaisir une eau de qualité !
	
	A RETENIR
	
	Le chlore – et non le calcaire – est le principal problème qualitatif de 
	l’eau du robinet.
	Bouillir ou faire chauffer l’eau ne règle aucun problème, au contraire !
	Boire 1,5 litre d’une eau plate et tempérée n’est facile et agréable qu’avec 
	une eau de qualité.
	L’hydratation correcte des cellules de l’organisme requiert une eau non 
	oxydante.
	L’eau en bouteille faiblement minéralisée est ainsi supérieure à l’eau du 
	robinet chlorée.
	Au regard du coût et de la pollution plastique, il est toutefois préférable 
	d’investir dans un système performant de filtration et de dynamisation… de 
	l’eau du robinet !
	Un système efficace combine filtration « physique » et « énergétique ».
	La filtration physique peut toutefois engendrer une prolifération 
	microbienne.
	La filtration énergétique peut toutefois être trop superficielle.
	Seuls des tests biologiques sont en mesure de démontrer la dynamisation 
	subtile de l’eau.
	La compréhension scientifique ou les avis intéressés importent toutefois 
	moins que les résultats et le ressenti. 
	Une eau dynamisée est toujours plus douce et agréable à boire. 
	Le plaisir de boire est la meilleure preuve que cela fonctionne… ou pas !
	
	
	Le mendiant.fr
	Auteur & Consultant Ecologique / Benoît Saint Girons / Tél: +41 76 532 8838 
	/ auteur[at]lemendiant.fr
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